1. Désaccords


    Datte: 11/11/2019, Catégories: f, h, fh, jeunes, grosseins, Masturbation pénétratio, fdanus, jouet, baillon, hplusag,

    ... ? Luc tourna la tête vers la poitrine de Véronique et grimaça : — C’est votre amant ? Quentin bomba le torse et tenta de gagner en maturité : — Non ! Véronique est ma professeure de musique et j’ai besoin de m’entretenir avec elle ! Un silence s’installa, Luc pencha sa bouche vers l’oreille de sa belle-mère : — À la mort de mon père, il serait bien que l’on se voie tous les deux !— Alors, il faudra que vous patientiez, le médecin a dit qu’il était en pleine forme ! Les deux frères n’enchérirent pas et préférèrent quitter le salon. Quentin resta seul auprès de Véronique qui foulait le sol de colère. Le coupable de la veille resta immobile et muet à faire tourner son téléphone dans sa main. Il marcha vers la sortie du salon : — Merci, Quentin ! Le jeune homme s’immobilisa. Il se tourna vers elle et glissa son appareil dans la poche. — Pardon Madame pour hier… Véronique racla sa gorge en fixant Quentin. — … Nous sommes quittes à présent ! Ils restèrent tous les deux à distance : — C’est flatteur de faire tourner la tête d’un jeune homme comme vous. Mais je suis inaccessible ! Tu rencontreras bien une fille de ton âge…— … Oui, mais je vous aime ! Je veux vivre avec vous ! Je trouverai un travail ou deux pour subvenir à vos besoins ! Véronique toussa : — Quentin ! Arrête ! Tu es encore perturbé par tes hormones et avec cette chaleur, je comprends que le feu te monte au visage, mais c’est non ! Nous n’aurons jamais une histoire ensemble !— Pourquoi ?— Parce que tes sentiments ne ...
    ... sont pas réciproques !— Vous préférez les Blacks ?— Comment cela ?— Le type d’hier !— C’était un ami ! Arrête, bon sang ! Quentin revit dans ses pensées cette main dite « amicale» posée sur la braguette d’Omar et le jeune soupirant capitula. Véronique le raccompagna silencieusement à la porte en lui fixant rendez-vous pour la semaine prochaine. Quentin marcha lourdement en direction de sa voiture. Il sortit son téléphone portable et afficha la photo qu’il avait prise de la professeure de musique : on la voyait se faire peloter par les frères sur un léger sourire. À l’étage, la chambre du malade était intentionnellement privée de la chaleur du soleil. Les deux bras sur le lit, Jean-Paul contempla silencieusement Véronique. — Qu’est-ce qu’il se passe ?— Tes enfants m’accusent de détourner ton argent ! Elle croisa les bras sous sa poitrine et baissa les yeux, pensive, avant de s’immobiliser face au lit. Sa robe mi-cuisses collait particulièrement à ses hanches. — C’est notre argent ! On n’en fait ce que l’on veut ! Ils ont peur de manquer ! Ils ne sont même pas venus me dire bonjour ! Véronique s’avança près du lit. — Je ne veux pas qu’ils te mettent dans cet état, ma puce ! Malgré la fatigue, Jean-Paul eut une lueur dans le regard. Il l’invita sur le bord du lit et elle s’exécuta. — Ils ne peuvent rien tant que je suis vivant. Il leva sa main et la posa sur la poitrine libre sous la robe. Il estima le galbe des deux seins et Véronique se prêta au jeu. — Tu es un diamant. Mon ...
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