1. Camping en Bretagne (2)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: Lesbienne

    ... veux pas finir avant elle alors de mon côté, je lui enfile un doigt dans l’anus. Elle pousse un cri de plaisir et gémit de plus belle. Je fais des mouvements rapides dans son cul tout en accélérant mes va-et-vient à deux doigts dans sa chatte et en continuant de sucer sauvagement son clitoris, pendant qu’elle me pénètre de plus en plus vite avec sa pierre et qu’elle me lèche le sexe. Le plaisir est au plus haut, nos gémissements se transforment en cris et nous atteignons l’orgasme en même temps. Nos cris résonnent dans notre grotte du plaisir. Je reprends mes esprits plus vite qu’elle et j’en profite pour lui remettre deux doigts dans chaque trou et aller le plus vite que je peux. Elle repart dans un orgasme et jouit violemment. Je continue de la doigter jusqu’à ce qu’elle s’effondre, à bout de forces. Nous restons un bon moment couchées sur le sol de la petite grotte à nous caresser le corps et nous embrasser. Nous décidons enfin de sortir, mais au moment où je sors la tête, je vois des linges sur la plage et des gens dans l’eau. Je recule précipitamment et trébuche dans les pieds d’Émilie. Nous tombons toutes les deux en arrière. — Il y a des gens ...
    ... dehors — Quoi ?! — Il y a des gens qui se baignent juste devant, ils vont nous voir. — Il faut qu’on coure et qu’on s’enroule dans nos linges avant qu’ils nous voient. — OK, à trois on y va. — Un... deux... trois ! Je cours le plus vite possible jusqu’à mon linge et saute dessus avant de me rouler dedans. Émilie m’a suivie et s’est roulée dans son linge en même temps que moi. — Je crois qu’ils ne nous ont pas vues. — J’espère. Nous éclatons de rire en repensant à ce qu’il vient de nous arriver. Nous récupérons nos culottes et Émilie remet son haut. Quant à moi, je n’ai aucune chance de le récupérer. Je décide d’attacher mon linge autour de ma poitrine et de rentrer au camping comme ça. De toute façon, je n’ai pas le choix, nous n’avons pas pris d’habits de rechange. arbayyud Sur le chemin du retour, le vent souffle fort et mon linge manque de s’envoler plusieurs fois. J’ai de la peine à diriger mon vélo et à retenir mon linge en même temps. On arrive enfin au camping. Je dis au revoir à Émilie et je fonce dans ma tente pour mettre quelque chose pour cacher mes seins. Cette journée aura été bien mouvementée, je me demande ce que demain nous réserve. 
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