1. Sandra découvre l'infidélité de Delphine


    Datte: 11/09/2017, Catégories: ff, Lesbienne

    ... voix de petite fille. — Un effort ? Oh tu es méchante ! Elle me sourit, gourmande. — Je pourrais être très gentille si tu le voulais… Troublée par sa voix, je ne repoussai pas de suite sa main qui se posa sur mon genou. Les yeux dans les siens, je sentais mon souffle s’accélérer et ma peau frémir à ce contact. Frustrée par des semaines de célibat, je me sentais à fleur de peau et étais consciente que je jouais un jeu dangereux si je ne m’écartais pas de suite. Rusée, Léa ne profita pas de son ascendant sur moi, ne voulant pas brusquer les choses. Sa main était immobile et douce à la fois. Je fermai les yeux un instant et elle prit cela pour une invite. Elle remonta lentement à l’intérieur de ma cuisse, déclenchant en moi des frissons bienvenus. Pour la forme, je tentai de repousser ses avances mais elle me fit taire en m’embrassant. Je gémis sous l’assaut sensuel et ouvris aussitôt les lèvres pour un baiser langoureux. « Mon Dieu, que c’est bon ! » Léa embrassait divinement bien et sa main progressait lentement sous ma minijupe, vite repoussée aux hanches. Ses doigts coquins faisaient frémir l’intérieur de mes cuisses, me faisant gémir pour vite atteindre le tissu moite de mon string. La belle savait y faire en frôlant, caressant, agaçant mes lèvres et mon clitoris à travers la dentelle. Je devenais folle de désir sous ses caresses et ses baisers, et mes gémissements assourdis par sa bouche étaient de plus en plus rauques. Léa plaqua sa main sur mon sexe et me caressa à ...
    ... travers le tissu en appuyant plus fortement sur mes chairs. Ses doigts experts trouvèrent vite le rythme qui me rendait folle ; je me tordais sous ses attentions. Je sentais mon sexe s’ouvrir, et lorsqu’elle glissa sa main sous l’élastique et frôla mon clitoris, je ne fus pas longue à rendre les armes, jouissant dans un cri prolongé, la bouche libérée de son baiser, laissant libre cours à mon plaisir. En sueur, la jupe retroussée, les cuisses écartées, je reprenais difficilement pied sous les yeux attendris de ma maîtresse d’un soir qui léchait sa main souillée avec un plaisir non feint. — Coquine ! Tu as enfin eu ce que tu voulais !— Presque, précisa-t-elle en déboutonnant avec autorité le premier bouton de mon chemisier sans me laisser le temps de réagir. Je souris amusée. — Presque ?— Oui, je veux voir enfin tes magnifiques seins ! lâcha-t-elle en défaisant les boutons suivants. J’éclatai de rire et la laissai finir son effeuillage. Après tout, je lui devais ma première jouissance depuis des semaines ! En soutien-gorge et string, ma jupe me semblant de trop, je me laissai admirer par Léa qui en avait les yeux qui brillaient. Elle me couvait du regard, et ma poitrine semblait l’hypnotiser ! Je tentai de faire baisser la tension érotique qui régnait dans son salon en la taquinant. — Et toi ? Tu ne me montres rien ? Reprenant ses esprits, elle me sourit et se leva. Quittant ses talons, elle dézippa sa robe qui glissa le long de son corps de sportive. Ses petits seins étaient ...
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