Sandra découvre l'infidélité de Delphine
Datte: 11/09/2017,
Catégories:
ff,
Lesbienne
... Déshabille-toi, lui demandai-je. Avec un sourire gourmand, elle fit passer son pull par-dessus tête, me laissant découvrir sa poitrine minuscule, libre de toute entrave. Sensuellement, elle fit glisser son jean puis son string pour me donner l’occasion de retrouver sa toison blonde bien épilée. — Viens… l’implorai-je. Delphine me rejoignit sur le lit, et après quelques secondes d’observation nos envies prirent le dessus et un baiser torride renoua notre relation. On se dévorait la bouche littéralement, comme des affamées. Ma jolie blonde roula sur moi et, ses petits seins collés à mes poires, m’offrit son joli petit cul à caresser. Delphine gémit lorsque mon index frôla son anus, et je pus constater avec plaisir qu’il était toujours aussi lisse. Notre baiser était rythmé par nos caresses et son petit cul m’attirait tandis que Delphine s’occupait de mes seins lourds qu’elle m’enviait depuis notre première rencontre. Excitée et avide de nouvelles sensations, je profitai de cette position pour lui donner une tape sur les fesses. — Sale gosse ! m’amusai-je. Loin de protester, ma chérie gémit, me laissant comprendre que cette nouveauté était bienvenue. Sa réaction me transcenda et je la fessai plus fort pour son plus grand plaisir. Ses gémissements de plus en plus rauques trahissaient son trouble ; je glissai mon autre main entre nos corps pour vérifier à la source que ma belle prenait son pied. Elle était trempée ! Ses yeux brillants confirmaient son trouble et je m’appliquai à ...
... la fesser tandis que mon autre main caressait son clitoris érigé. Ma chérie criait de plaisir à chaque coup, et les mouvements de son bassin me laissaient à penser que sa jouissance n’était pas loin. Un cri plus fort que les autres confirma mon impression et Delphine jouit, agitée de spasmes incontrôlés, le corps luisant de sueur et les fesses rougies. Retombée sur moi, elle mit du temps à reprendre ses esprits ; elle me sourit au bout de quelques instants. — Tu as raison. Je l’avais mérité. On rit à nouveau, complices, et nous roulâmes sur le lit comme deux ados insouciantes. Mais Delphine voulait se faire pardonner absolument et prit les choses en main pour me donner le plaisir que je méritais à ses yeux. Connaissant mes goûts, elle m’installa dans la position qui me rendait dingue. En levrette, le cul offert à la gourmandise de ma maîtresse ; je gémis en prenant position et, les fesses écartées, attendis l’offrande de sa bouche. Elle caressa d’abord mes fesses rondes, me faisant gémir d’impatience. Elle ne se fit plus attendre, et bientôt une langue coquine butinait mon anus lisse tandis que ses mains exploratrices empaumaient mes seins, pendants dans cette position. Mes poires sensibles me faisaient vibrer de désir tandis que mon cul semblait trembler avant un séisme imminent. Je gémissais sans retenue, pressée de jouir avec ma chérie pour sceller notre réconciliation qui ne faisait aucun doute. Je sentais mon anneau céder sous l’assaut de sa bouche ; et loin de dégoûter ...