1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1036)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1035) - Malgré mes accessoires buccaux qui m’empêchaient de fermer la bouche, je pus enfin me désaltérer à souhait… Durant les horaires d’ouverture du restaurant celui-ci ne désemplissait pas, mais paradoxalement, le parc ne se vidait pas non plus, et chiennes et chiens soumis en attente d’un Dominant, d’une Dominante ou d’un curieux ne restaient pas longtemps inoccupés. Jusqu’à la fermeture du restaurant, aucun esclave chien, aucune esclave chienne n’eut le droit de se sustenter, sauf ceux qui se retrouvaient au service d’une personne déjeunant et ayant la bonté de leur donner quelques bouchées de leur repas. J’eus droit à un autre type de nourriture que celle présentée sur la carte. L’établissement servait aussi de lieu de réunion pour des hommes d’affaires voulant en même temps se divertir et faire avancer leurs dossiers. C’est donc un groupe d’une dizaine de personnes qui me réclamèrent pour les servir. Ils voulaient réellement que je fasse le service, mais à genoux. Des sortes de baguettes, se terminant par des pinces à un bout, qui furent posés à mes tétons, et à l’autre bout se terminant par des chaines qui furent accrochées également par des pinces à mes lobes d’oreilles, soutenaient un plateau sur lequel un maître d’hôtel déposait les plats que je devais leur présenter. Tandis qu’ils mangeaient et sans que l’on m’ôte le plateau, je devais passer sous la table, et les sucer les uns ...
    ... après les autres, sans avoir l’obligation de les faire juter. Ce qui arriva tout de même au moins une fois chacun, et se fut tout ce que j’eus à manger, tant que je devais « travailler » pour eux. Mon ‘repas’ se constitua donc de plusieurs gorgées de spermes chauds … Durant quinze minutes, on vint nous chercher et tous les soumis et soumises furent réunis dans une pièce où des gamelles de nourriture et d’eau nous attendaient, et pendant ce temps nous fûmes débarrasser de nos écarteurs de bouche. Tous, nous commençâmes par boire une grande quantité d’eau. Puis nous dûmes repartir, attachés de nouveau à notre rambarde. Certains de nous ne furent là que jusqu’en début d’après-midi, remplacés par de nouvelles venues, de nouveaux esclaves. Tel ne fut pas mon cas ! J’accompagnais de nouvelles personnes en balade dans le parc. Une jeune femme me traita exactement comme un animal de compagnie, me flattant, me caressant, m’appelant sa jolie petite chienchienne, exigea que je fasse la belle, bien droite sur mes genoux, que je lui donne ma papatte... Elle m’emmena pisser au pied d’un arbre, elle joua avec moi à la baballe que je devais aller chercher et ramener à ses pieds. Et si je faisais de nouveau la belle agenouillée tout en tirant la langue, j’avais droit à une caresse sur le cuir chevelu avant qu’elle relance la baballe. Bref une vraie vie de petite chienne ! À la fin de la promenade dans le parc, elle voulut m’emmener dans la chambre qu’elle avait retenue dans la partie hôtelière. ...
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