1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1036)


    Datte: 11/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Là, elle m’enleva l’écarteur buccal et tout mon attirail puis elle voulut que je me mette à genoux, les fesses posées sur mes talons, près du fauteuil où elle s’installa pour lire (et je pus distinguer le titre de son livre qui était ‘’La Saga des esclaves du Marquis d’Evans’’), et elle me caressa la tête de nombreuses heures… Au bout d’un long moment de lecture, sa main baladeuse s’approcha de ma taille et le bout de ses doigts effleura l’intérieur de ma cuisse, laquelle je maintenais écartée, elle remonta ensuite lentement depuis mon genou, redescendit vers celui-ci pour revenir vers mon sexe quand ses doigts me branlèrent doucement le clitoris et répétèrent inlassablement ce lent va et vient. La jeune Domina lisait toujours son livre, perdue dans sa lecture tout en me masturbant. J’en mouillai de plaisir. Lentement j’écartais encore plus mon entrejambes, ce qui arrêta son mouvement masturbatoire un instant. La main reprit son va et vient lent et si excitant. Je soulevai un peu le bassin, remonta le haut de mon corps sous mes fesses. La main baladeuse profita du terrain gagné et branla encore mieux mon sexe et effleura juste mes lèvres intimes. Je fermai les yeux pour me concentrer sur la caresse de ses doigts que j’espérai à chaque fois plus près de ma caverne humide. Mes cuisses largement écartées appelèrent sa main. Je gémis doucement de l’attente exacerbée à chaque fois déçue quand sa main redescendait. Je ressentis le gonflement de mes lèvres gorgées de plaisir. Tout ...
    ... ce que je ressentais était concentré entre mes jambes, dans l’humidité et la moiteur croissante de mon sexe, dont je croyais même sentir l’odeur musquée… La main de la Domina me quitta, je gémis de frustration et d’envie, de besoin d’être pénétrée, je souhaitais tellement que ses doigts pétrissent et malaxent ma chatte, je désirais inonder sa main écrasée sur mes lèvres intimes et béantes… Puis elle se leva et un claquement de doigts me fit comprendre de la suivre en quadrupédie jusqu’à son lit auquel elle m’ordonna de me coucher. Elle se déshabilla totalement et vint se coucher à mes côtés quand son épaule se dégagea, ses deux mains sur mon visage me redressèrent la tête, son souffle sur ma bouche, ses lèvres sur les miennes, si chaudes, sa langue qui ouvrit les miennes. Elle me serra dans ses bras, me colla à elle autant qu’elle put. Je me sentis envahie, soulevée par son amour, sa tendresse lesbienne tant exprimée. Elle s’écarta un peu. Ses mains glissèrent sur mon visage, ses doigts se glissèrent dans mes cheveux, elle me repoussa doucement sur le lit. Du dos de sa main droite elle caressa ma joue, mes lèvres, glissa un doigt replié entre mes lèvres qui s’ouvrirent pour embrasser son doigté. Sa main gauche se glissèrent entre mes jambes, se faufila au pli de mon genou, souleva et tira ma jambe vers elle, colla mon genou à ses seins. Elle repoussa l’autre jambe du dos de la main, m’écartant grand les cuisses, me laissant béante et offerte. Je gémis et mordillas son doigt ...
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