Brigitte, mon amie d'enfance
Datte: 11/09/2017,
Catégories:
fh,
frousses,
cadeau,
amour,
Oral
amourpass,
... Monsieur, je vais vous chercher tout ça. Pouvez-vous me donner la taille s’il vous plaît ?— Oui, bien sûr. Alors 95 C et 36.— Je vous prie de patienter, je reviens tout de suite. À peine cinq minutes se sont écoulées qu’elle revient les bras chargés de mes articles qu’elle scanne au fur et à mesure. — Ce sera tout, Monsieur ?— Oui. Pouvez-vous me faire un papier cadeau.— Bien sûr. Je vous laisse régler et je vous fais ça. Un seul ?— Oui. Je règle et elle me tend le sac avec mon cadeau. — Votre femme a bien de la chance. Vous êtes un homme de goût, me dit-elle. Je la regarde et je lui souris. — Je vous remercie. Vous êtes charmante. Au revoir. Je sors. Un coup d’œil à ma montre m’indique que c’est bientôt l’heure. Je sors du parking et prends en direction de chez Brigitte. Lorsque j’arrive, elle n’a pas encore fini. Je patiente sur les marches de chez elle comme un lycéen. Je suis perdu dans mes pensées quand je vois une main qui vient me caresser. Je lève les yeux puis je bondis comme un voleur et l’embrasse avec fougue. Elle rend mon baiser, je commence à passer une main sur ses hanches. — Attends un peu qu’on soit à la maison, me dit-elle. Elle pousse la porte et rentre. — Ah attends, je dois récupérer quelque chose dans ma voiture je te rejoins. Je prends le sac et le pose dans le salon pendant qu’elle se change. Quand elle revient, elle voit le sac : — Qu’est-ce que c’est ?— C’est pour toi.— Pour moi ? Elle le prend et ouvre le cadeau. Elle me saute au cou en me ...
... disant : — Mais… pourquoi tous ces cadeaux ?— Parce que je t’aime et que ça me fait plaisir de te voir heureuse. Elle ouvre le papier cadeau et son visage s’illumine instantanément. — Tu aimes mon amour ? Ça te plaît ?— Oui, ça me plaît. C’est très joli. Tu veux que je les essaye ?— Pourquoi pas. C’est toi qui vois. Elle vient s’asseoir à cheval sur moi, m’embrasse et se frotte contre moi. — Oui, je crois que je vais essayer un ensemble. Elle part dans la chambre. J’en profite pour me réajuster, car la bête s’est réveillée. Lorsqu’elle revient, elle a passé l’ensemble blanc : celui avec un soutien-gorge à balconnets et un tanga. Je suis… comment dire… vous voyez le loup de Tex Avery ? Eh bien, c’est moi dans la même situation. Elle s’approche de moi telle une panthère puis se rassoit dans la même position. La bête que j’ai entre les jambes veut sortir, elle le sent et elle en joue en se frottant de nouveau contre moi. — Je t’aime, j’ai envie de toi.— Moi aussi j’ai envie de toi, me dit-elle en se frottant plus fort. Je pose les mains sous ses fesses, je me lève et prends la direction de la chambre. Nous faisons l’amour comme si c’était la première fois nous rêvons un peu puis elle va prendre une douche. Je suis dans le lit en train de réfléchir quand elle pose sa tête sur mon torse. Je la caresse. Elle me demande a quoi je pense vu l’air sérieux que j’ai, alors je lui demande : — Tu fais quoi là, maintenant ?— Comment ça, je fais quoi ?— Oui, ce soir. Demain.— Oh ! Rien de bien ...