Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (3)
Datte: 12/11/2019,
Catégories:
Lesbienne
... à la casserole le soir même. De mon côté, j’étais quand même assez excitée de voir Muriel se soumettre à tous mes caprices sexuels. Systématiquement, pendant l’heure du repas, Muriel et moi nous retrouvions dans le petit local archives, mon petit doigt me dit que Marie était au courant. Tous les midis, Muriel me faisait jouir avec sa langue ou avec les caresses que j’exigeais d’elle; de mon côté j’arrivais quand même à lui faire du bien mais ne pas la faire jouir à chaque fois pour ne pas qu’elle en prenne l’habitude. Je pense aussi, que Coralie devait se douter quelque chose, mais elle n’osait imaginer que des femmes puissent faire ça. Pourtant elle aussi était bien désirable bien appétissante et je n’aurais pas été contre de lui donner du plaisir mais en même temps rien n’était joué. Avec le temps j’avais pris tellement d’assurance, que maintenant j’arrivais avec une carotte de belle taille ou une courgette, j’emballais ça dans un préservatif et je pénétrais ma collègue qui ne faisait que subir. Je peux vous garantir que Muriel, tous les midis je la comblais de plaisir, elle était vraiment méconnaissable depuis la fois où elle avait osé abuser de moi. Aujourd’hui j’en étais arrivée à me demander, comment je pourrais prendre l’ascendant psychologique sur Marie, notre responsable, car elle aussi était fort à mon goût. C’est vrai qu’il m’arrivait de temps à autre à me retrouver collée derrière elle, je ne sais pas ce qui me retenait de la plaquer contre moi en lui posant une ...
... main sur son bas ventre et l’autre main sur sa poitrine. Contrairement à Franck, moi, c’était le fumet intime de Marie qui me perturbait, elle était une grande rousse et son odeur ne me laissait pas du tout indifférente. Pour l’instant, j’étais en train de me demander quelle étape supplémentaire j’allais pouvoir trouver pour dominer Muriel. Puis me vint l’idée d’acquérir un gode à ceinture ou plutôt une culotte en latex avec gode externe incorporé, j’avais une grosse envie de plaquer ma collègue contre une armoire ou une étagère et la pénétrer sauvagement ; toujours avec son consentement maintenant. Ce n’était pas un comportement bien féminin, mais je me sentais devenir de plus en plus dominatrice et c’est Muriel qui en faisait les frais. J’en étais arrivée à un stade où je fantasmais plus sur ma collègue que sur mon homme, et si au fond de moi je n’étais pas une gougnotte pure et dure... Un soir j’ai constaté que Franck enfilait une petite culotte de ma collègue pour aller bosser, quand je l’ai surpris il était gêné et a essayé de se justifier. De mon côté, il m’avait laissé sans voix, je ne savais plus quoi dire, il n’y a pas à dire mon mec était obnubilé par Muriel. Je ne le savais pas à ce point sensible aux odeurs, je ne pensais pas que les odeurs mettaient dans un tel état et poussaient à faire de telles conneries. En même temps avec le recul, à chaque fois que je croisais notre responsable d’agence, son odeur de rouquine me faisait des nœuds dans le ventre d’excitation, ...