1. Sur ce coup là, j'aurais mieux fait de me taire (3)


    Datte: 12/11/2019, Catégories: Lesbienne

    ... bref elle me faisait mouiller ma culotte à chaque fois. Un jour alors que j’étais en train de m’acheter des dessous dans un magasin dont l’anagramme est team, je tombe sur Marie en train de s’en choisir pour elle. De loin je la surveille, de loin je l’espionne, de loin je la scrute; j’ai la sensation de m’immiscer dans sa vie privée, cela me plaisait. Elle part essayer des vêtements dans une cabine d’essayage et là je la suis, je lui ai laissé un peu de temps pour se déshabiller et enfiler une nouvelle parure, puis je rentre dans la cabine d’essayage. Je fais la cliente surprise en constatant que je me suis trompée de cabines, mais cela me donne l’occasion d’admirer cette belle rouquine qui me fait rêver depuis pas mal de temps. Dans sa petite culotte tout en lycra et son soutien-gorge assorti, Marie se sentait fragile face à moi qui l’a regardais avec envie et au fond de moi peut-être de la gourmandise. À la grande honte de Marie, et surtout à ma grande surprise, j’ai constaté que Marie enlevait les antivols des dessous pour les voler. Elle avait plusieurs gros aimants de formes diverses dans son sac à main, au fur et à mesure chaque antivol se retirait sans abimer le textile. Moi qui avais envie d’abuser un peu d’elle dans sa position de faiblesse, je la prenais la main dans le sac et la voilà qu’elle était encore plus faible que je ne pensais. Marie était tétanisée, elle ne savait pas quoi dire. uwoojc — Alors comme ça on vole dans les magasins. — Je pensais qu’avec le ...
    ... salaire que tu as, tu avais les moyens de t’acheter de quoi te vêtir. Marie était maintenant comme apeurée, elle ne savait pas derrière quoi se retrancher. — Je souffre de cleptomanie. — Vu mon statut au sein de la banque, je n’ose pas aller voir le psy. — Je ferai tout ce que tu veux, mais s’il te plaît n’en parle pas au travail. J’avais décidément un avantage psychologique sur notre chef, désormais je savais qu’elle me mangerait dans la main et que je pourrais faire ce que je voulais d’elle. Pour marquer mon avantage, je lui ai caressé la joue et je l’ai embrassée sans trop lui demander son avis. Elle qui avait toujours eu le dessus sur moi, que ce soit dans ma vie privée ou au travail, les rôles venaient de s’inverser et j’avais vraiment projet de ne pas m’en priver. J’ai bien vu sur le coup, quand je l’ai embrassée, que Marie n’était pas consentante; ce n’est qu’au bout de plusieurs minutes qu’elle a fini par accepter mon baiser et me le rendre. — quand je vois le matos que tu as pour voler des vêtements, ne serais pas étonnée que chez toi il y en ait plein que tu n’as pas payé. Marie ne savait pas quoi dire, du coup avec ma main, je me suis mise à lui caresser sa moule toute poisseuse à travers sa culotte. Je ne sais pas si elle se soumettait à mes caresses par peur que je divulgue tout au boulot, ou si elle prenait du plaisir, toujours est-il que la façon dont elle tortillait des fesses, j’avais vraiment l’impression de lui faire du bien. Sa culotte était tellement douce ...
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