1. Ciné folie Chapitre 2(Trouvee sur le net)


    Datte: 12/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore,

    Elles sont bouillantes, gonflées, congestionnées. L’aboutissement de mes efforts est proche, je le sens. J’ai juste le temps de tourner la tête et de positionner ma bouche, que déjà un flot de foutre éclabousse mon palais, retombe sur ma langue et coule doucement dans ma gorge. A cet instant précis, il m’aurait fallu deux bouches, car la deuxième se libère également et projette un jet puissant dans mes cheveux et mon cou. Surprise et ennuyée, je me retourne et comme pour me punir de l’avoir abandonnée, la première me balance le reste de ces réserves en plein visage. « Seul l’exécution parfaite de ces recommandations débloquera… » Alors que je suis prête à lâcher l’affaire, cette phrase me saute aux yeux. Ils seraient capables de ne pas vouloir me laisser sortir si je ne les finis pas bien. Je lèche les glands dégoulinant, n’en laissant pas une goutte. Du sperme mêlé à de la salive me pends au menton. Je le ratt**** du dos de ma main, avant qu’il ne tombe sur ma jupe. Mais c’est déjà trop tard, elle est souillée depuis longtemps. Je ruisselle de foutre de partout. Mes mains trempées, n’osent plus me toucher et pendent au bout de mes bras comme des marionnettes désarticulées. Les deux monstres rentrent dans leurs tanières et un cliquetis se fait entendre. Je n’ose pas bouger. J’écoute, j’analyse le moindre bruit. Mais seuls les sons lointains du film et d’une chasse d’eau qui fuie parviennent à mes oreilles. Comme ci cela avait de l’importance, je m’applique à ne pas salir la ...
    ... poignée en tirant la porte du bout de mon auriculaire. Ouf! Elle s’ouvre. Je sors prudemment, jetant un oeil dans tous les recoins. Il n’y a plus personne. Du moins, je l’espère. Le miroir me renvoi une image de moi vraiment pitoyable. Souillés mes cheveux, mon visage, mon cou, mon pull, souillée aussi ma jupe et mes bas. Je fais couler de l’eau tiède, et à l’aide d’un rouleau de papier hygiénique je commence à essayer de faire disparaître les traces de ma mésaventure. La semence dans les cheveux me pose un gros problème, mais patiemment, je parviens tout de même à la faire disparaître. Le nettoyage de mon visage est nettement plus facile, mais je me demande s’il en serrait de même pour le reste de mes habits. Je m’apprête à frotter mon pull après avoir passée une main en dessous pour le tendre, quand la porte western claque derrière moi. Un homme d’une trentaine d’années et un quinquagénaire, viennent d’entrer.Surprise et apeurée, je retire rapidement ma main de dessous mon pull, me retourne et fonce, la tête baissée pour ne pas les regarder, vers la sortie en disant d’une petite voix tremblotante. « Laissez-moi, s’il vous plait. » mais le gaillard de cinquante ans me bloque déjà l’accès. Je recule, et me retrouve collée au lavabo. « S’il vous plait. ». Mais ça leurs plais pas. Le jeune, désignant le rouleau de papier que j’ai jetée à terre me dit « continuez ! » mes yeux sont remplie de larmes. Quand une goutte coule sur mon visage, je pense les émouvoir, les attendrir. « ...
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