1. Ciné folie Chapitre 2(Trouvee sur le net)


    Datte: 12/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore,

    ... plus digne. Trois rouleaux de papier plus tard, c’est presque fait. A par les taches humides sur mon pull et ma jupe, toutes les traces d’agressions on disparut. Je vais enfin pouvoir rentrer chez moi, et c’est avec un sourire à peine dissimulé que je sort dans le couloir. Je tourne à droite pour rejoindre la porte donnant accès à la salle et je percute un homme qui fume. Je m’excuse et le contourne pour passer mais il tend sa jambe et pose son pied sur le mur d’en face pour faire barrage. Proche de la crise de nerf, j’essaie de passer en dessous, mais il baisse la jambe. « Vous n’allez pas partir sans finir la visite, quand même ! » sa main me saisie le bras et il me tire vers le fond du couloir. Je proteste, me débat, mais je n’ai plus de force. Il me jette littéralement dans les toilettes pour hommes et je tombe au sol. L’endroit est beaucoup plus sale ici .Une forte odeur de vieilles urines agressent mon odorat. Six urinoirs sont alignés contre le mur et deux marches conduisent à un chiotte à la turc, ouvert à tout vent, sa porte étant défoncée. Un homme pisse, tourne la tête et me regarde à terre. Quatre hommes regardent un homo faire une pipe à un autre. Ma présence ne semble pas les troubler ni les gêner. Ils continuent sans détourner les yeux. Celui qui se fait sucer est un beau male, brun, baraqué, de type méditerranéen. L’autre, quarante ans, laid, cheveux grisonnant, ne semblant pas très clean. Il pousse des « hum !hum ! »À chaque fois qu’il avale la queue. Il a ...
    ... un regard de fou vicieux. Une fois l’état des lieux effectué (cela ne m’a pris qu’une petite seconde) je me relève, furieuse. « Ça vas pas la tête, espèce de taré! » le type qui suce se retourne et me lance un « ta gueule connasse! » que je ne suis pas prête d’oublier. « Connasse toi-même espèce de p…..! » le mec se lève et me montre le revers de sa main. « Vas y, dis le sale pute, dis le! » il a les yeux exorbités. Il fait mine de me frapper et se remet à genoux devant son pote. De grosses larmes réapparaissent sur mes joues, je n’en peux plus, c’est un vrai cauchemar. J’essai de forcer le passage entre deux types, mais rien à faire. C’est alors qu’ils s’avancent tous, en ligne, vers moi. Comme un a****l traqué, je me blottie à l’angle du mur. Je suis maintenant acculée, sans espoir d’échappatoire. Une voix s’élève. « Fou toi à poil! ». Ça, il n’en ai pas question et je ne bouge pas. « FOU TOI A POIL! ». Cette fois, j’ai vus qui a hurlé ça. C’est un lascar de deux mètres, appuyé au mur à ma droite. Il tient dans la main un organe de longueur impressionnante, mou, qu’il secoue dans tout les sens. J’ai trop peur. Mes gestes sont saccadés et ne sont plus coordonnés. Quatre mains viennent retirer mon manteau. Je suis vaincue, terrassée et je laisse faire. « Continue seule! ». Me servant du mur comme appui, je retire mes bottes, me semblant être les éléments les moins importants. Ainsi, il me semble retarder l’échéance finale. « Continue! ». Je me penche et aperçois mes bas filés. ...
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