1. Dépannage à domicile


    Datte: 13/11/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail fdomine, hdomine, pénétratio, fsodo,

    ... autant en profiter. — Penche-toi en avant, mets tes bras croisés sur le bord de la table, repose ta tête dessus, que je vois bien ton cul. Je suis sûr qu’aucun homme ne t’a jamais baisé. Oui ou non.— Non, aucun homme ne m’a jamais touchée.— Eh bien je vais combler ce manque, je vais te prendre. Pas te violer, tu as dû t’enfiler des godemichés bien plus gros que ma queue, pas vrai ? Sans un mot, elle s’exécute, dresse les fesses. — Bon et maintenant je vais te baiser. Mais d’abord, voyons le terrain. Placé derrière elle, il lui taquine le clitoris d’une main, de l’autre il pince le bourgeon d’un sein. D’abord elle cherche à serrer les cuisses puis accepte. Sortant son sexe, il s’en sert à la place du doigt pour poursuivre la caresse. La victime ne dit rien. Au contraire il semble qu’elle gémit doucement. François est stupéfait. Il glisse un, puis deux doigts dans le vagin. Ils entrent facilement. — Et maintenant, je vais enfoncer ma queue dans ton con, tu es d’accord ?— Oui, Maître.— Demande-le-moi.— Baisez-moi, Maître. Alors doucement il s’enfonce sans difficulté dans ce conduit humide. D’abord lentement, s’arrête, puis reprend plus vite, s’immobilise enfin. Et c’est la victime qui continue seule le mouvement. — Alors, c’est bon ? Tu veux que je continue, ou bien je m’arrête.— Continuez Maître, mais je ne prends pas la pilule.— Je ne suis pas un salaud, je ne veux pas t’engrosser. Mais alors comment je vais finir, dans ta bouche ou ton cul, tu dois aussi l’avoir agrandi.— ...
    ... Dans le cul, Maître. Il se présente plus haut, pointe au centre de la cible, et à nouveau s’enfonce facilement. Alors couché sur elle, lui pinçant les seins, il la sodomise à grands coups. Elle gémit, puis crie, mais pas de douleur. — Ah, Maître, c’est bon, je viens.— Moi aussi, je t’en mets plein le cul. Il se retire, redresse sa victime, la prend aux épaules, la fait pivoter. Elle reste la tête basse, regardant le sol. Il lui soulève le menton et l’embrasse. Elle a d’abord la bouche close puis accepte le baiser. Magnanime il lui dit : — Allez, va essayer la salle de bains, tu verras si elle fonctionne.— Oui, Maître. Il lui apporte la serviette de toilette qu’il prend pour se laver après le travail. Quand elle sort, il lui tape gentiment sur les fesses. — Habille-toi, on monte chez toi. Ils sont sortis, sans un mot, ont regagné l’étage. Elle a ouvert la porte, s’est dirigé vers son bureau. — Combien vous dois-je, Maître ? Il réalise tout à coup la gravité de sa conduite. Il s’est comporté comme un salaud. Jamais il n’avait agi ainsi. — Excusez-moi, je viens de me conduire d’une manière ignoble. Je vous ai humiliée, violée. J’ai agi sous le coup de la colère et je le regrette. Non pas pour le plaisir que j’ai pris, il était extraordinaire.— Ne vous excusez pas, François, c’est moi qui me suis conduite d’une façon méprisable. Je n’aime pas les hommes. Quand vous vous êtes présenté, j’ai eu d’abord peur de vous, si grand, si fort, si beau. Puis votre manière d’être très poli, ...
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