Dépannage à domicile
Datte: 13/11/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fdomine,
hdomine,
pénétratio,
fsodo,
... le chantier n’étant pas fini, elle refusera certainement de le payer. Le samedi et toute la journée du lundi il a travaillé d’arrache-pied. Le lundi, à dix-neuf heures alors qu’il soignait son matériel, elle est entrée, claquant la porte derrière elle. — Alors François, toujours pas fini ! Mais vous ne foutez rien ! Cette remarque le met hors de lui. Il se redresse, se retourne lentement, s’approche d’elle. — Tu as fini de me faire chier, je travaille comme un con pour un salaire de merde et tu viens encore m’insulter ! Mais j’en ai marre de toi. Si tu penses me faire peur, c’est raté.— Mais, monsieur François…— Ta gueule, tu la fermes ; ici sur le chantier, c’est moi le maître !— Mais monsieur… François se sent en position de force. De la même manière qu’elle l’a écrasé, il va faire de même, lui faire comprendre ce que l’on ressent face à cette humiliation. — J’en ai plein les couilles, j’ai envie de les vider, mais je me demande où ?— Vous me menacez, je vais crier.— Tu peux hurler tant que tu voudras, tu sais très bien que, personne ne t’entendra.— Mais dites…— Tu m’as humilié, ridiculisé. Maintenant que le boulot est terminé et que tu vas me payer, je t’emmerde. L’autre soir, tu m’as tenté de m’exciter avec ta gouine, afin de pouvoir m’écraser. J’ai compris ton jeu et j’ai résisté car j’avais besoin de cet argent. Pourtant, je me la serais bien faite. Mais aujourd’hui, c’est toi que j’ai envie de sauter. François veut voir sa réaction. Lui parler de coucher avec un ...
... homme ! Elle va hurler, lui dire qu’elle ne le paiera pas. Et il sera obligé de céder car il veut son argent. Mais tout de même, il lui aura fait sentir ce que c’est d’être dominé, écrasée. — Mais vous n’oseriez pas ! Ce serait un viol !— Sauf si c’était toi qui me demandais, et je sens que tu vas le faire.— Jamais monsieur, je déteste les hommes.— Parce que tu n’y as jamais goûté. Ton seul plaisir, c’est de dominer. Tu prends des filles parce que tu as peur des mâles et que ces gamines acceptent de t’obéir, probablement pour du pognon. Tu as profité que j’avais besoin d’argent pour m’abaisser moi aussi. Mais tu devrais accepter à ton tour d’être dominée, je suis sûr que tu y prendrais du plaisir. Tes gouines, elles, en plus du fric, prenaient peut-être du plaisir à céder à tes exigences. Tu devrais essayer, tu aimerais certainement.— C’est vrai, j’ai toujours pris le dessus. Mais mes partenaires étaient d’accord. Cela m’apportait un sentiment excitant, très fort. C’était plus intellectuel, que par satisfaction sexuelle.— Alors demande-moi de te baiser.— Oui François. Faîtes-moi l’amour.— Tu ne me dis pas François, mais Maître, compris ?— Oui, Maître.— Alors, à poil ! Il dit ses paroles dans un moment de défi, sachant qu’elle refusera. Il ne pourra rien faire, mais au moins il aura eu la satisfaction de montrer qui est le plus fort ! Mais, elle défait sa robe qui tombe à ses pieds, elle quitte ses sous-vêtements. François reste totalement abasourdi ! Mais puisqu’elle accepte, ...