La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°785) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°785)

... Maître avait plusieurs soumises et soumis, mais je n’avais jamais envisagé de devoir assister, même de dos, aux différents moments que le Maître pouvait passer avec eux. Au gémissement guttural qu’Il laissa échapper rapidement lors de sa jouissance, je devinais que le Maître s’était vidé dans la bouche de la soumise à Ses pieds, qui n’était malheureusement pas moi. - Hummm sublime, Ma belle chienne obéissante ! J’ai beaucoup apprécié ta bouche si humide, si chaude et si douce ! Maintenant, tu vas rester ici. Pour te récompenser de ta sublime fellation, je t’autorise à rester assise dans mon fauteuil et tu vas attendre 60 minutes en surveillant de près cette chienne en chaleur. Tu veilleras qu’elle ne repose pas ses fesses sur ses talons. Elle doit endurer à rester une heure ainsi positionnée, agenouillée le buste droit. Si par malheur elle reposait ses fesses, vous serez toutes les deux punies et sévèrement (le Maître dit cela fort afin que j’entende bien son propos)… Ensuite, tu amèneras cette nouvelle chienne à tes sœurs dans la salle de soin, et préparez-là pour ce soir, que je sois fier de vous ! … Et … Hummm oui, je te redis encore une fois, Ma belle chienne que ta bouche est vraiment exquise … Je me sentais encore plus humiliée ! C’est comme si le Maître avait fait exprès de complimenter la soumise que je ne voyais toujours pas, pour me faire sentir encore plus mon, finalement, inexpérience ! Et pour bien me faire comprendre que, non, je ne suis pas la seule, et ...

... qu’il faudrait que je prenne l’habitude de le partager. J’essayais de faire taire ma jalousie qui en ce monde D/s n’a pas lieu d’exister. Je compris (et je sus plus tard) que la jalousie était une faute aggravée et sévèrement sanctionnée car absolument pas du tout acceptée par le Maître. Après tout celle à qui j’allais être confiée n’y était pour rien, non plus que les autres soumises qui m’attendaient… Et puis il y avait cette petite punition à rester ainsi immobile et agenouillée. Allais-je tenir 1 heure ? Monsieur le Marquis quitta la pièce sans aucune autre parole… La première demi-heure se passa bien et dans le silence le plus absolu. Je savais la soumise assise derrière moi dénudée et je me l’imaginais assise et cuisses écartées exhibant sa chatte à l’air et je devinais qu’elle ne me quittait pas des yeux. Me mâtait-elle ? Regardait-t-elle mes formes, mon cul ? Ou tout simplement se contentait-elle juste de me surveiller ?... Au bout de 35 minutes environ, les muscles de mes cuisses se firent sentirent douloureusement et je n’avais qu’une envie de les soulager en me posant sur mes fesses. J’avoue avoir été tentée mais je me devais de tenir bon, de supporter cette douleur musculaire ponctuée de crampes et ainsi respecter la punition et de ne pas me faire sanctionner et faire punir aussi la soumise qui me surveillait. Paradoxalement plus j’essayais de rester ainsi buste droit, plus cela m’excitait ! Je sentais ma mouille couler hors de ma chatte alors que la douleur ...