1. Le piège


    Datte: 14/11/2019, Catégories: fhh, couleurs, couple, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, fhhh,

    Le piège… Tout d’abord, je me présente, bien que vous ayez peut-être eu l’occasion de lire comment mon cher mari m’a fait découvrir les plaisirs du libertinage. Je suis Chris, la quarantaine, que certains considèrent comme épanouie… (Il est vrai que l’on se retourne assez fréquemment sur mon passage et, honnêtement, j’adore ça !) Je n’ai pas à me plaindre de mon poids ayant la chance d’avoir conservé une silhouette dont les courbes se trouvent juste là où il faut et j’essaye de prendre le temps de les entretenir. Mes défauts depuis que je connais mon mari ? (Qui n’est pas le premier… !) J’ai tendance à être curieuse, joueuse, assez… exhib et surtout très… gourmande ! Mais qui m’en blâmerait ? Voici donc le décor planté ! Petite précision, je suis aussi amoureuse de mon mari qu’il peut l’être de moi, et nos « frasques libertines » ne sont que des jeux qui n’ont jamais entamé notre union ni mis en péril notre couple, loin s’en faut. La séparation se fait au niveau de la ceinture, au-dessus le cœur, en dessous… le plaisir ! Et, cet été, mon vilain mari m’a tendu un piège dans lequel je suis tombée comme une gamine mais sans aucun regret, vous allez le constater. Je ne travaillais pas cet après midi-là, j’en profitai pour parfaire un peu mon bronzage sur la pelouse, derrière notre petite maison. Protégée par la haie de troènes, je pouvais tranquillement me laisser dorer totalement nue, j’ai donc abandonné ma petite robe d’été sur un transat. Huilée, je me suis à demi assoupie, ...
    ... heureuse, insouciante… Quoi de plus agréable que ces instants de liberté totale ? Avec, quelque part, une pensée coquine depuis que j’avais tout de même remarqué un de nos voisins qui pointait le bout de son nez dans un petit coin de la haie, moins dense à cet endroit, pour s’offrir la vision de mes seins, mes cuisses, mon ventre exposés aux rayons du soleil ? Du coup, une douce chaleur envahit mon ventre, faisant durcir mes seins et ma main s’égara sur ma courte toison. Je tentai d’imaginer notre voisin curieux, nu, une superbe tige fièrement dressée vers moi et me laissai aller à une caresse moins innocente que celle du soleil ! Je me serais volontiers laissée embrocher longuement s’il avait osé franchir cette maudite haie… Ce n’est pourtant pas cela qui m’a perturbée cet après-midi là mais le carillon de l’entrée, de l’autre côté de la maison. Sachant mon mari absent, mon voisin franchirait-il le pas ? Toute émoustillée et loin d’être satisfaite de ma caresse solitaire, j’ai rapidement enfilé ma robe, refermé à la hâte trois ou quatre boutons avant de traverser le salon pour rejoindre la porte d’entrée. J’ai ouvert ! Pour me retrouver, non pas face à mon voisin, mais à deux hommes que je connaissais depuis longtemps, d’anciens camarades de travail de mon mari. — Salut ! dit le premier en souriant. Il se pencha vers moi, me fit la bise. Grand, les épaules larges, le torse musclé sous un tee-shirt immaculé, il était d’un noir profond, presque bleu. Je lui rendis son sourire, ...
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