1. Le piège


    Datte: 14/11/2019, Catégories: fhh, couleurs, couple, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, fhhh,

    ... deux hommes et de mon mari. Même si je devais faire une bêtise, mon amour ne saurait que me pardonner et en ressentir un plaisir tout particulier. Je me suis levée pour aller chercher mon paquet de cigarettes sur le buffet. Gagné ! En me retournant, je vis le noir tendre la main, son briquet entre les doigts. — Je t’allume ? me proposa-t-il en riant. Je me suis approchée face à lui, me suis penchée vers la flamme qu’il laissa s’éteindre (volontairement ?) gagnant quelques secondes de plongée dans ma robe. J’ai aspiré la nouvelle flamme mais il laissa fuser un léger sifflement admiratif, le regard plongé sur mes seins. Je fis semblant de m’apercevoir que ma robe largement ouverte depuis leur arrivée ne cachait pas grand-chose de mon corps nu et bronzé. Prenant le parti d’en rire je lui dis : — La curiosité est un vilain défaut !— Peut-être, mais ce que j’ai pu voir est sans défaut, et pas vilain du tout. Donc ce n’est pas de la curiosité mais bien de l’admiration, répondit-il. Il ajouta : — C’est vrai que je suis curieux pourtant et j’aimerais bien savoir si cette splendide robe est ton seul vêtement !— Non seulement tu es curieux, mais tu devrais avoir honte de parler ainsi à l’épouse d’un copain. Je suis une femme mariée, amoureuse et fidèle répondis-je en riant, la tournure de la conversation m’ayant désormais mise dans un état second.— De toute façon, je n’aurais rien fait de mal ; admirer la femme d’un ami est assez flatteur. Puis un moment de honte est si vite passé ...
    ... qu’une réponse à ma question m’enchanterait ! termina-t-il. Plaisantant toujours, mais sentant grandir en moi une folle excitation, je m’enhardis et, cette fois provocante j’ajoutai : — Si tu veux tout savoir, je bronzais quand vous êtes arrivés et j’ai juste pris le temps de remettre ma robe. Tu es satisfait ou tu veux peut-être le constater toi-même ? La réponse ne se fit pas attendre. Un immense sourire éclatant barra son visage sombre aux yeux de braise : — C’est vrai, je suis comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois et, en plus, j’ai du mal à croire que tu bronzes totalement nue ! C’en était trop, je sentis tout mon corps frémir ; mes seins, mes cuisses, mon ventre réclamaient désormais les caresses. Je fis un pas en avant. Debout devant lui, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées, les reins cambrés, le regard plongé dans le sien, je le provoquai cette fois ouvertement : — Chiche ! Maintenant que tu peux, tu n’as qu’à vérifier. J’ai rarement eu l’habitude de me dégonfler ! Immobile, je frissonnai quand les mains sombres se posèrent sur mes mollets. Lentement elles remontèrent vers mes genoux, caressantes, énervantes avant de se glisser sur mes cuisses, dépassant l’ourlet de ma robe, contournant mes jambes pour atteindre mes hanches libres. — Alors ? Satisfait ? dis-je en frissonnant. Il ne répondit pas, ses mains encore sur mes hanches reprirent leur mouvement, glissèrent sur mes fesses rondes et cambrées. Puis, doucement, une main au bas de mes ...
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