1. Lucile amoureuse salope (11)


    Datte: 14/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... rosette convoitée. Laisse moi te baiser le cul. — Papa, s’il te plait… implora Jeanne en sentant le gland appuyer sur son trou, pas ça. Mais René ne l’écouta pas et sa longue et épaisse verge la pénétra lentement et entièrement dans le rectum de son fils. Il n’en revint pas de la facilité avec laquelle le cul de Marc l’avait accepté et il s’y complaisait en va-et-vient puissants. Son fils, malgré ses quelques objections, l’avait finalement laissé faire et se pâmait de plaisir. La queue de son père lui procurait un plaisir intense et il se mit à l’encourager jusqu’à ce qu’ils jouissent ensemble. Le retours en train TGV ne fut pas aussi agréable que leur voyage aller mais sans doute moins fatigant. Philippe vint les chercher et passa la nuit avec elles. La semaine suivante Lucile n’eut pas ses règles et les tests qu’elle fit confirmèrent sa grossesse. Au travail, ses fonctions de pute, quoique non officielles, étaient maintenant connue de toute la gent masculine et certains hommes auxquels elle s’était donnée juste une fois sans vraiment y prendre plaisir devinrent des « clients » assidus. Elle fut tellement sollicitée les trois premières semaines qu’elle passa plus de temps les cuisses écartées sur le lit de la salle de repos qu’à son bureau. Pour ne pas gêner le bon fonctionnement de l’entreprise, Roger finit par imposer des horaires de bordel et trouva également deux autres femmes volontaires pour aider, de temps en temps, Lucile dans sa tâche. La pause du déjeuner était le ...
    ... moment le plus chargé et il y avait parfois la queue devant la porte de la pièce où elles se faisaient baiser à la chaine. Il arrivait aussi que Lucile se fasse sauter publiquement, au détour d’un couloir, sur un coin de bureau ou aux milieu des toilettes pour hommes. Les mois passants, son ventre rond généra de nombreux ragots et qu’elles laissa courir. Ça ne l’empêcha pas pour autant de finaliser deux bons contrats à l’export qui firent le bonheur de Roger et lui donnèrent un bel apport pour l’achat d’un nouvel appartement. Jeanne prit ses nouvelles fonctions de directrice et continua à coucher discrètement avec Jean-Paul et Charles mais elle ne prit pas d’autre amant au sein de son entreprise. Chez elle, Willy venait de plus en plus souvent quand Lucile n’était pas là pour justifier de la baiser. Après quelques mois, ses cheveux ayant bien poussés, Jeanne ne portait plus sa perruque et son anatomie montra enfin des changements perceptibles. Pour adapter au mieux son traitement, elle devait se rendre régulièrement dans la clinique italienne qui la suivait. Elle était donc contrainte à de fréquents aller et retours sur le temps d’une journée ou d’un week-end chez son père à Menton. Lucile ne l’accompagnait généralement pas dans ces séjours éclairs et Jeanne, pour ne pas perdre de temps, faisait ces déplacements en avion. Les formalités de police devinrent un véritable calvaire car son apparence n’était plus en accord avec son identité officielle. Elle réalisa alors que le « ...