1. Lucile amoureuse salope (11)


    Datte: 14/11/2019, Catégories: Transexuels

    11 – Une famille compréhensive Marc étreignit son père quand ils le retrouvèrent et, comme à son habitude, René savoura les doux baisers de sa belle-fille et trouva quelques compliments à lui faire. Il était très heureux de les retrouver et qu’ils aient décidés de passer le mois complet avec lui. Ils les trouva fatigués aussi ils expliquèrent qu’ils n’avaient pas réussi à dormir dans le train à cause de quelques militaires trop chahuteurs. Cela ne l’étonna pas et il ne put retenir une réflexion à l’égard de la mauvaise conduite des bidasses. La villa de René à Menton était située sur les hauteurs de la ville, elle n’avait aucun vis-à-vis et un magnifique jardin en terrasses agrémenté d’une piscine magnifique. René les aida à monter leurs affaires dans leur chambre puis il les convia à un petit déjeuner en terrasse dès qu’ils seraient prêts. Lucile passa par la douche puis elle mit une tenue très légère composée de son maillot de bain deux pièce blanc qui devient transparent une fois mouillé et d’une jupette blanche également. Marc, quand à lui, enfila un maillot « moule bite », un short et un t-shirt, soucieux de paraître le plus masculin possible. — Tu vas faire bander mon père dans cette tenue ; il va adorer. — J’espère bien, je ne suis pas venue ici pour me gouiner avec toi. En plus, j’ai décidé d’arrêter la pilule à la fin de ma plaquette. — C’est à dire ? — Dans deux jours. — Ça va être ragnagnas, alors ? — T’aimes pas ça, hein ? Moi ça ne m’empêche pas de baiser en ...
    ... tous cas ; mais vous les hommes vous êtes trop sensibles. Vous préférez tirer d’un trou plein de merde que d’un trou plein de sang. C’est bizarre, non ? — C’est surtout de lécher après qui me dégoute… — Pourtant tu le fais très bien. Allez ! Allons rejoindre ton père ; tel que je le connais il nous a sorti le grand jeu avec croissants et tartines grillées. — Sans parler de ses confitures… — Et bien quoi ? Elles sont très bonnes ses confitures tu as quoi à leur reprocher ? — Rien ! Elles sont excellentes seulement il en fait de telles quantités… — Il en donne à tout le monde, c’est son plaisir. Durant le petit déjeuner ils parlèrent de tout et de rien, Marc ne sachant trop comment expliquer à son père qu’il était à la fois cocu, travesti et transsexuel en devenir, soumis à sa femme et à toute personne à qui elle donnait autorité sur lui. De son côté, Lucile estimait que ce n’était pas de son devoir de le faire mais elle avait aussi décidé que si Marc ne le faisait pas, elle le ferait pour lui sur un coin d’oreiller. Elle lui avait donné une demie journée pour s’humilier lui-même avant de s’en charger elle. Mais elle faisait confiance à son mari et comme ils étaient partis dans leurs longs bavardages, elle les abandonna pour une chaise longue sur laquelle elle s’endormit. — Tiens, pendant qu’elle dort, faut que je te montre un truc. Ça se passe dans mon atelier, tu vas voir. — C’est quoi ? demanda Marc intrigué. — Surprise ! Tout ce que je peux te dire c’est que je me suis enfin ...
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