1. Lucile amoureuse salope (11)


    Datte: 14/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... qu’elle ne l’aurait cru et se dit que la génétique recelait bien des mystères. René ne bandait pas encore complètement mais son excitation grandissait. Il ne disait rien mais l’observa avec tendresse quand elle prit sa verge en bouche. Pour ne pas l’embarrasser et comme c’était la première fois, Jeanne prit du recul et se fit la plus discrète possible. René se révéla un amant délicieux, tendre et prévenant quand il le sentait nécessaire, et fougueux et très viril pour faire monter le plaisir. Le fait que ce soit son beau-père n’y était sans doute pas étranger et Lucile se sentait transportée. Son corps vibrait sous les assauts du pénis qui lui remplissait la chatte. Les couilles volumineuses claquaient sur son anus, elle gémissait tandis que René la traitait de « belle salope » et déclarait qu’il se chargerait lui même « de la mettre en cloque ». Jeanne s’était presque déshabillée et n’avait conservé que son string et ses sandales et elle se masturbait sa petite quéquette en se pinçant les tétons. René était endurant, Lucile jouissait et, lorsqu’il éjacula dans sa matrice, Jeanne s’était léché les doigts depuis bien longtemps. — Enlève ton string et ta perruque, demanda René à son fils, mais garde tes bijoux et tes sandales. — Pourquoi tu veux que j’enlève mon string et ma perruque, Papa ? — Pour trois raisons. La première c’est qu’il n’y a pas de raison pour que seuls Lucile et moi soyons à poil, la deuxième parce que si tu vas à l’eau tu risques d’abimer ta perruque et que ...
    ... je préfèrerais te voir avec tes vrais cheveux. Enfin, la troisième c’est que comme ça, quand tu nous regardera faire l’amour, Lucile et moi, je verrai encore Marc et que ça m’excite. Jeanne s’exécuta, elle retira sa perruque d’abord et essaya de moduler ses cheveux pour ne pas trop faire garçon, puis elle baissa son string en se retournant de manière un peu provoquante pour bien montrer son cul à son père. Quand elle se retourna elle s’aperçut qu’il avait vraiment bloqué sur ses fesses et lorsqu’il réalisa que c’était maintenant sa bite qu’il voyait, il eut une expression de surprise. — Oui, je sais, elle est très petite, quand je bande, elle tient entière dans la paume de ma main et j’ai même du mal à en faire ressortir le gland. — On dirait une bite de gamin… Dit René qui découvrait pour la première fois depuis très longtemps son fils nu. Approche, fais voir. — Papa, j’ai jamais aimé les concours de taille de bites, j’ai toujours perdu même quand j’étais ado, alors, s’il te plait… C’n’est pas que ça me dérange, il y a longtemps que je me suis fait une raison, mais je n’ai pas besoin que tu m’humilies,… pas toi. — Je ne pensais pas à mal, fiston, c’est juste étonnant et tu te rases ou tu t’épiles ? — Je n’étais pas très poilu, de toute façon et j’ai fais faire ça par une professionnelle. — Tu permets que je touche pour voir, demanda René en approchant sa main sans attendre la réponse. — Papa, tu... non, Papa, s’il te plait… — Laisse toi faire, je veux juste savoir si c’est ...
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