1. L'océan (1)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... disais de s’imaginer quelqu’un qui nous regarderait et qui se branlerait à côté de sa portière… Petit à petit, ces scénarios ont commencé à l’exciter et elle devenait de moins en moins hostile à ce que cela se produise vraiment. Ainsi la première fois où une ombre est passée devant sa vitre, après une petite réaction due à la surprise, elle s’est doucement laissée aller à se détendre un peu, aidée par mes baisers tendres et mes douces caresses. Après nous être bien assurés qu’il s’agissait bien de quelqu’un qui voulait nous épier et non d’un quidam hostile à nos jeux, nous avons repris notre petite partie profitant bien de l’excitation nouvelle due à la personne qui s’était invitée dans notre intimité, pour notre plaisir commun. Bien entendu, au début cela s’est limité à des exhibitions bien à l’abri derrière les vitres de notre voiture, soigneusement fermées. Au début toujours, elle n’osait même pas regarder notre voyeur complice, je lui racontais ce qu’il faisait, comment il était, s’il se branlait, et si oui, comment était son membre… Elle sentait bien que j’étais hyper excité quand cela se produisait et moi, je voyais bien qu’elle aussi y prenait plaisir, bien qu’elle le niât. Puis nous avons emménagé ensemble, nous habitions une petite localité dans laquelle tout finit par se savoir et nous ne désirions pas choquer nos familles respectives aussi, nous avons décidé de réserver ces moments à nos quelques escapades estivales ou à nos sorties dans les villes voisines mais ...
    ... pas trop proches pour ne pas trop risquer d’y rencontrer des connaissances. Cette année-là, nous étions partis en vacances sur la côte atlantique. Nous avions trouvé une chambre d’hôtes dans l’arrière-pays et avec la voiture, nous allions tous les jours faire un tour au bord de l’océan. Ma chérie adore la mer. Comme nous n’aimons pas trop la foule, nous cherchions des endroits isolés et il y en avait beaucoup étant donné que la foule se pressait sur les quelques mètres de plage surveillée. Il suffisait donc de marcher un peu, ce qui était très agréable, jusqu’à ce qu’il n’y ait pratiquement plus personne. On pouvait alors s’installer tranquillement. Je cherchais de préférence les lieux où le naturisme était toléré, sinon conseillé et nous pouvions ainsi nous prélasser nus au soleil. Ainsi, un jour, alors que nous étions allongés au pied d’une dune depuis une bonne heure, je proposais à ma femme de l’enduire à nouveau de crème solaire. Elle a une peau assez blanche et doit bien se protéger pour éviter les coups de soleil... Je profitais bien entendu de la situation pour la caresser plus que nécessaire tout en étalant la crème sur son corps alangui. Toujours encline à mes caresses, elle réagit rapidement, sans doute déjà passablement excitée de se sentir ainsi exposée aux rayons brûlants du soleil et aux yeux tout aussi brûlants des quelques rares promeneurs qui s’aventuraient jusque-là et qui ralentissaient le pas quand ils arrivaient à notre hauteur, pour profiter un peu plus ...
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