1. L'océan (1)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de la plastique de ma chérie qui leur était largement exposée. Mais nous étions seuls à ce moment précis et elle s’offrait langoureusement à mes caresses qui se firent de plus en plus osées, bien qu’ayant terminé mon travail premier de protection. Elle était donc sur le dos, les yeux clos, les cuisses largement écartées pour s’offrir à ma main et me permettre d’accéder à sa chatte déjà toute trempée de désir. Qu’est-ce que je la trouvais belle ainsi exposée à mes désirs pervers et aux regards d’éventuels voyeurs que j’appelais de mes souhaits. Mais je si surveillais le bord de mer, espérant voir arriver un homme, nu lui aussi (nous étions en zone naturiste) je ne voyais toujours personne. En général, ils arrivaient en marchant dans l’eau, l’air de rien, et regardaient les rares couples isolés dans l’espoir, pas si secret qu’ils ne pensaient, de surprendre quelques gestes équivoques ou quelque position, exposant un corps féminin, un peu plus que ne le voudrait la morale. Mais personne ! Tant pis, je me laissais aller au plaisir de donner du plaisir à ma petite femme adorée. Je la trouve si belle quand elle prend du plaisir et qu’elle se laisse aller, oublie toute pudeur pour se noyer simplement dans une mer de jouissance... Ce qui précisément à ce moment-là, était en train de se produire sous mes seuls yeux amoureux... Seul ? C’est du moins ce que je croyais... Elle gémissait, s’écartelait sur sa serviette pour mieux s’offrir à mes caresses. Mes mains courraient sur son ...
    ... corps merveilleux, tantôt sur ses petits seins si sensibles, lui agaçant les bouts qui étaient durcis à l’extrême par le désir. Je les lui pinçais, les tordant un peu entre le pouce et l’index, provoquant des gémissements de plaisir qu’elle ne pouvait, ne voulait réprimer. Elle se cambrait encore davantage, dans l’espoir que je m’occupe enfin de sa petite chatte que j’avais volontairement oubliée pour laisser enfler en elle le désir de se sentir fouillée jusqu’à ne plus en pouvoir… Dans un moment de prise de conscience, elle me murmura : — « Tu surveilles que personne n’arrive ! » — - ne t’en fais pas mon amour, là où on est, il n’y a aucune famille, c’est bien trop loin de tout, et si quelqu’un venait, ce serait dans l’espoir de voir ce que nous sommes en train de faire, il ne s’en plaindrait sûrement pas, tu peux me croire… — …D’ailleurs, tiens, imagines que quelqu’un, qu’un homme, est allongé entre tes jambes et qu’il est en train de se branler en te regardant t’écarter comme tu le fais en ce moment… Je sentis son excitation monter subitement d‘un cran. Elle ne dit rien, mais je voyais bien qu’elle avait saisi cette idée et qu’elle s’imaginait scrutée dans les moindres détails de sa chatte d’où s’écoulait un filet de mouille, preuve de son désir d’être désirée… — « qu’est-ce qu’il fait ? » Murmura-t-elle… — « il s’est rapproché, il est juste devant ta moule qui ruisselle d’envie… tu veux qu’il te la touche ? » — « j’ai envie… j’ai envie oui… » Je posais délicatement un doigt ...
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