1. "Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (8)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... retrouva instantanément le plaisir malsain qu’il avait éprouvé quelques jours auparavant... sauf que cette fois-ci il, prenait sa femme éveillée, enfin le pensait-il... Et Maurice se régalait d’enculer sauvagement sa femme, qui criait de plaisir sous les regards brûlants et vicieux des quatre hommes. Il se régalait de cette luxure bestiale qu’il s’était toujours interdite. Sous le coup de l’excitation il continua de flageller sa femme sur le dos, les flancs, les seins. Maurice avait l’impression d’entrer en Enfer avec sa femme, et il adorait cela... ce lâcher-prise diabolique durant lequel ils s’autorisaient toutes les perversions. Son esprit était ouvert à toutes choses avilissantes du sexe. Il se disait que s’il avait eu un berger allemand sous la main, il aurait donné l’ordre à sa femme de se soumettre à un coït bestial, encore plus avilissant que tout ce qu’elle avait déjà connu jusque-là. Cette pensée fort peu chrétienne le fit décharger dans le cul de sa femme, en un hurlement rauque de délivrance. Il se retira encore un peu hagard et étonné de la “monstruosité” de ce qu’il venait de faire. Il était comme hypnotisé par le corps de cette femme à quatre pattes, enculée, fouettée, avilie, qui était la mère de ses enfants, et qui acceptait tout. Tout ce qui était humainement possible de faire dans la perversion et cela, en y trouvant un plaisir démoniaque ! Retrouvant son souffle, il dit : “ Messieurs, finissez-la de la façon qu’il vous conviendra, baisez-la, enculez-la ...
    ... fouettez-la, pissez-lui dessus, elle est prête à tout endurer, toutes les abjections les plus vulgaires, avec force plaisir et jouissance !” Alors ce fut la curée ; les quatre hommes émoustillés par le spectacle de leur pasteur, enculant et fouettant sa propre femme sous leurs yeux, se lâchèrent. L’un se plaça sur le sol, le sexe dressé comme un pieu, sur lequel ses compagnons empalèrent Anne par le sexe. Un autre se posta sur elle, et emprunta "le chemin de perdition" qui avait été dégagé par son mari. Quant à Michel et au quatrième, ils se mirent à genoux, le sexe dressé près de la bouche d’Anne, qui les suça comme elle le put, entre gémissements, hurlements de plaisir et ahanements. Les rôles s’interchangèrent, tant que chacun des hommes eut encore assez de vitalité. Quant à Maurice, toujours étonné de la dépravation de sa femme et de son aptitude à tout endurer avec délice, il prenait cliché sur cliché, jusqu’à épuisement du stock de pellicules du Polaroid. Maurice que rebandait encore, ne pouvait quitter du regard sa douce épouse encore si vertueuse quelques semaines auparavant, qui se livrait aux joies du sexe à plusieurs, avec une queue dans sa chatte, l’autre dans son cul et les deux dernières à tour de rôle, voire toutes les deux dans sa bouche. Enfin les hommes repus se séparèrent de la dépravée, laissée gisante, dos sur le sol, en proie à tout ce plaisir si intense et durable. Maurice regarda sa femme souillée par tous les trous, couverte de sperme sur les cuisses, ...
«12...567...»