1. "Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (8)


    Datte: 15/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... les poils de sa chatte englués. Elle avait les cuisses encore ouvertes, laissant apparaître une vulve dilatée et béante rougie par les pénétrations, d’où s’écoulait un ruisseau de foutre mêlé de cyprine. Pourtant elle ne semblait pas encore en avoir assez, car ses mains venaient effleurer son clitoris pourtant si sensible. Écœuré Maurice détourna le regard et dit aux hommes: “ Ma femme est vraiment devenue une catin infernale ! Regardez-la se vautrer encore dans sa perversion, il semble qu’elle n’en aura jamais assez ! Elle a encore le cul et la chatte en feu ! Messieurs veuillez "éteindre l’incendie" ! Les quatre hommes se regardèrent étonnés, en ne voyant pas où voulait en venir le mari cocu de sa propre volonté. Mais quand il s’approcha, le regard mauvais, et commença à lui uriner dessus au niveau de sa chatte béante, ils se joignirent à "l’extinction de l’incendie"... Alors quand Anne vit les cinq hommes lui pisser dessus en même temps, qui sur les seins, qui sur le sexe, les cuisses, et même sur le visage, elle poussa une grande plainte de plaisir, un grand “ ouiiii, encore !”, tout en se manipulant la chatte vigoureusement... et eut son ultime orgasme. Une fois Anne relevée et dégoulinante d’urine, son mari lui flagellant les fesses, la dirigea vers un vestiaire inutilisé, depuis que le temple s’était installé dans cet ancien entrepôt industriel. Anne poussait un petit gloussement de plaisir, à chaque fois qu’elle sentait les lanières de cuir lui heurter la peau si ...
    ... sensible de son petit cul. Son mari, lui parlant comme à l’un de ses élèves désobéissant lui dit: “ Allez salope, tu vas te laver de toute cette dépravation, dans laquelle tu t’es roulée avec délectation !” Le petit vestiaire était miteux, seulement occupé par un long lavabo blanc pour ouvriers, et un bloc d’armoires de vestiaire en acier. Pas de douche ni d’autres commodités qui auraient permis à Anne de se débarrasser de l’odeur entêtante de la pisse des hommes sur sa peau. Surprise par l’inconfort du lieu, elle demanda innocemment où elle allait pouvoir se laver. Sur ce, Maurice ordonna aux hommes de saisir son épouse par les cuisses, et de la déposer dos au mur sur le lavabo, au niveau d’un des vieux robinets en fonte. Ceci fait, Maurice, un regard vicieux plaqué sur un visage de marbre, ouvrit grand le robinet, dont un jet puissant jaillit sur le ventre et les cuisses de son épouse largement ouvertes. L’eau était glaciale et Anne poussa un grand cri, quand elle toucha sa peau si échauffée par les récents événements : “ Mon Dieu, Maurice, arrête ! C’est trop froid ! — Non salope, tu t’es souillée, tu dois entièrement te nettoyer de toute cette abjection !” Tout en donnant un fort coup de martinet sur le pubis et le sexe ouvert de son épouse. “ Voilà qui te réchauffera quelque peu ! Messieurs prenez du savon et nettoyez-moi cette traînée sous toutes les coutures !” yzayggkl Alors, pendant que l’un des hommes balançait de grosses giclées d’eau glaciale sur les seins, le visage ...
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