1. Mon Ami (02)


    Datte: 16/11/2019, Catégories: fh, hh, fhh, hbi, copains, Masturbation intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo,

    ... son excitation de plus en plus difficile à maîtriser. J’ajustais mon gland et sentais l’anneau s’ouvrir très lentement, puis coulisser tout le long de ma hampe dilatée à l’extrême, m’ouvrant la voie à mille délices sous la pression du sphincter. J’allais et venais dans cet accès désormais souple et huilé avec une précision accrue. Je plaquais mon bassin contre les fesses musclées de Paul. Mon ondulation irradiait Emma par l’intermédiaire de Paul. Lui et moi ne faisions plus qu’un. Je glissais ma main sur le pubis de Paul entre elle et lui, sentant son membre entre mes doigts pilonner avec ardeur son sexe de femme. Le pénis de Paul devenait une prolongation du mien. Une volupté dont l’assouvissement semblait infini. Un amour insensé et furieux, violent et passionné. Mes sens s’éveillaient et me laissaient entrevoir des perspectives inconnues. Tout m’apparaissait sous un angle tout autre. Mon sang battait avec force dans mes artères. Jamais je n’avais éprouvé un bonheur aussi vif. Je l’attrapais crûment, je l’enculais dans une cadence soutenue brûlant nos chairs. J’avais vraiment plaisir, c’est le paradoxe, à tirer toute la quintessence d’une certaine part de féminité ainsi que d’une douceur chez lui, un ...
    ... gentleman costaud. Paul m’amenait et me portait au sommet de la jouissance. J’étais ancré au fond de lui. Il criait sa jouissance tel un animal, se lâchant totalement. J’aimais ses mots et sonorités viriles qu’il hurlait pendant ce coït bestial, qui fusaient de l’étreinte, parfois obscènes et crus parfois tendre et puissants. Je succombais à l’écoute de sa voix, une expression profonde d’une tessiture grave à l’intonation gorgée de testostérone. Je partageais avec Paul une osmose totale, non complémentaire simplement identique. Nous jouissions dans un vacarme d’orgasmes. Une sensation indicible et ineffable que mon corps garde en mémoire. Je vivais un fantasme délivré. On s’écroulait, ivres et repus de jouissance. Paul allumait une cigarette. J’amenais la main de Paul à ma bouche, tirais une bouffée de cigarette, puis exhalais la fumée tel un calumet de la paix avec lui, avec moi-même, du bonheur pur savouré au moment présent. Nous exprimions notre connivence complice, l’essence trouble de notre amitié. Une histoire complice et complexe vécue comme un désir de plaisirs partagés. Nous codifions et réinterprétions l’amitié en communion parfaite. Paul me regardait, je croisais son regard, nous nous reconnaissions. 
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