1. Je remplace ma collègue Sophie (5)


    Datte: 17/11/2019, Catégories: Transexuels

    Salut c’est votre folle de lycra Je suis donc Franck, je travaillais dans un cabinet d’assurance. A l’instant où je vous écris, je suis habillé en femme glissé sous une housse de couette en satin et mon patron est en train de m’y rejoindre. En compagnie de ma femme Marie, je venais de passer une soirée sympa chez mon patron et sa femme Muriel. Pendant que ma collègue Sophie était partie en vacances, je m’étais retrouvé à la remplacer, dans tous les sens du terme ; surtout auprès de mon patron, Gilles. Voilà comment, en très peu de temps, mon patron avait fait de moi sa maîtresse en me travestissant petit à petit. Sa femme Muriel se chargeait de ma féminisation, et à ma grande surprise ma femme était complice, le pire c’est que les trois comparses se chargeaient de tenir au courant ma collègue Sophie sur l’évolution des événements. J’allais passer ma nuit dans le rôle d’une femelle pour mon patron, et manifestement il avait l’air très excité à me voir ainsi vêtu et surtout offert. De son côté ma femme était partie avec Muriel, mon petit doigt me dit, qu’elles aussi, allaient faire des folies de leur corps. J’étais un peu jaloux de ma femme, car sa future partenaire, bien que plus âgée que moi, me plaisait aussi. Pour l’instant, la femme que j’étais pour une nuit était en train de sentir son patron se glisser contre elle. Avant de me retrouver, il avait pris sa douche, mais manifestement il avait fait attention à ne pas se nettoyer mon sexe, car il avait bien projet de me ...
    ... confier cette mission. Je le savais très doux avec moi, comme s’il prenait soin d’une femme, cela en était gênant pour ma masculinité. Il a dû se contorsionner pour réussir à se retrouver collé contre moi dans la housse de couette. À cette occasion je me suis retrouvé nez à nez avec son ventre musclé et velu, mais aussi son sexe m’effleurant le visage. Une fois installé, il s’est immédiatement collé contre moi, ça y est, j’étais à lui pour la nuit. Finalement c’était très agréable que de se sentir convoité, que de se sentir envisagé, que de se sentir désiré, moi Franck j’étais la proie d’un amateur de femmes. Je ne sais pas si c’est le fait que ma femme soit complice de la chose, mais j’avais la sensation d’être heureux de pouvoir donner du plaisir à mon patron. À sentir la raideur du sexe de mon patron au niveau de l’entrejambe, il n’y avait pas de doute il me désirait, j’étais vraiment flatté de le mettre dans cet état. Il était maintenant en train de m’embrasser, je ne sais pas si un jour je m’y ferai, mais cela me faisait tout drôle d’embrasser un homme ; même s’il y mettait beaucoup de douceur. Je me laissais aller et lui rendais ce baiser, pendant que ses mains caressaient mon corps tout féminin. Je me sentais vraiment à sa merci, tant il était plus grand et plus fort que moi, il dirigeait les opérations et finalement c’était très agréable de se sentir guidé. Il n’avait qu’une main de libre, car de l’autre il se tenait, mais en profitait quand même pour me caresser le corps, ...
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