1. Je remplace ma collègue Sophie (5)


    Datte: 17/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... la poitrine, mais aussi des flans que je découvrais très sensibles. Pendant que j’admirais sa poitrine musclée, il me caressait la mienne et m’excitait mes tétons réceptifs, là aussi, leur sensibilité me faisait réaliser qu’il y avait un côté féminin en moi. Je trouve que Gilles était très délicat avec ses préliminaires à mon égard, maintenant nos deux sexes étaient en contact l’un avec l’autre juste séparés par de fines couches de tissu. Rapidement dans la housse de couette nous nous sommes mis à avoir chaud et à légèrement transpirer. J’adorais cette odeur d’homme en chaleur qui émanait de Gilles, de sa main libre, il avait maintenant réussi à relever l’avant de ma robe, de telle façon à ce que nos deux sexes soient en contact direct. La moiteur de nos deux corps faisait que nos deux sexes s’agrippaient, et je donnais des coups de reins pour me masturber sur son pieu. Je ne sais pas ce que penserait de moi Marie, si elle ne voyait à ce point offert à mon patron, en même temps elle savait que je l’avais déjà sucé à plusieurs reprises et qu’il m’avait déjà fécondé. Maintenant, le sexe de Gilles s’était glissé entre mes jambes, et c’est lui qui donnait des coups de reins de désir de me prendre de nouveau. Gilles continuait à m’embrasser, il avait une façon de le faire, qui laissait supposer que je lui appartenais totalement. Je n’osais imaginer qu’il ait de tels rapports avec ma collègue Sophie quand elle était là, si c’était le cas, ils devaient être sacrément complices, ...
    ... d’où une entente parfaite au boulot. Je devais donc en conclure qu’avec un tel traitement, nous allions rapidement être sur la même fréquence avec mon patron au boulot. Maintenant il se remettait à me parler au féminin, je ne sais pas pourquoi, cela m’excitait énormément. — Tu vas devenir ma petite femme soumise et offerte. — Je vais pouvoir te faire tout ce que ma femme ne veut pas que je lui fasse. — Je ne pensais pas que tu serais si rapidement obéissante et soumise à tous mes désirs. — Ton corps est vraiment ravissant, une fois épilé, j’aimerais qu’il reste ainsi entretenu. — Je sens que nous allons prendre beaucoup de plaisir tous les deux. À écouter mon étalon, je pouvais en déduire que cela n’allait pas durer que le temps de l’absence de ma collègue Sophie. Maintenant à travers ma robe, il me pinçait de nouveau les tétons, j’appréciais cette sensibilité de plus en plus féminine à cet endroit-là. Il me faisait tellement de bien que je donnais à nouveau des coups de reins mais surtout, je poussais de petits cris, bien évidemment fort peu masculins. Avec mes bras je le plaquais contre moi, j’aimais vraiment sentir la force de cet homme, sa puissance et en même temps la douceur avec laquelle il pouvait me prodiguer ses caresses. Le volume de son sexe était croissant de désir, il n’y a pas de doute l’endroit où il se promenait en était la cause. Maintenant sa main droite, toujours à prendre des initiatives, était en train de me caresser entre mes deux fesses. C’est ma femme ...
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