1. Charles


    Datte: 17/11/2019, Catégories: fh, hplusag, grosseins, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, coprolalie, extraconj,

    ... bien beau que j’aie une bonne cuisinière à charbon, et une grosse boule à laver à l’appartement ! Quand je pense que, petite, je devais aller chercher de l’eau dans le puits du jardin de mes parents ! Houlà, en parlant de ça, il va falloir que je me penche sérieusement sur le sujet du repas du soir ! Une bonne heure après avoir été chercher les enfants à l’école, mon homme débarque à l’appartement avec le sous-directeur. Ce n’est pas la première fois que je rencontre Charles. Comme à chaque fois, il est bien habillé, sans être trop guindé. On va dire qu’il emprunte son style aux managers américains, ceux qu’on voit dans certains films, et ça lui va bien, d’autant qu’il est bel homme malgré qu’il ait dix ou douze ans de plus que mon mari. — Mes hommages, Madame…— Merci beaucoup. Vous pouvez m’appeler par mon prénom, vous savez…— Il est vrai que vous portez un prénom plutôt rare.— Dites plutôt difficile à porter ! Je vois bien durant notre échange qu’il louche sur mes seins qui sont eux aussi lourds à porter ! Et pas qu’un peu, ce petit vicieux, ou devrais-je dire, ce grand vieux vicieux ! Car Charles est particulièrement grand. Pour un peu, il devrait se baisser quand il franchit une porte. Mais pour un voyeur, je suppose que ça doit être pratique d’être si grand pour glisser un regard dans le décolleté des dames ! — Chérie, on s’installe sur la grande table. On en aura pour une heure, je pense.— Pas de problème, Phiphi. Mon mari me regarde d’un air un peu exaspéré, tandis ...
    ... que Charles est visiblement amusé de connaître le petit surnom de mon homme. Ah zut, tant pis, ce n’est pas grave, ce n’est pas comme si j’avais sorti le petit surnom que j’attribuais à sa queue au début de notre mariage ! Les deux hommes s’installent dans la salle à manger, avec plein de papiers devant eux, puis soudain Charles se met à parler dans une langue que je suppose être de l’espagnol ou du portugais. Plus tard, je saurai que c’est la seconde solution, car au Brésil, on ne parle pas espagnol mais portugais, un portugais plus chantant et différent de celui de l’Europe. Un peu comme le français de nos cousins canadiens. Mon mari bute nettement plus sur les mots portugais que le sous-directeur. Je me demande pourquoi ce n’est pas Charles qui part là-bas, surtout s’il sait parler la langue du coin ! Mais il ne faut pas toujours chercher à comprendre la logique qui anime certaines entreprises. Oh non ! L’heure tourne, et soudain, Bébé réclame ! Nathalie est en avance d’une bonne heure sur ce que j’avais planifié, mais elle n’est pas encore réglée comme une horloge. Sans réfléchir et pour éviter que ma dernière-née ne se mette à hurler de façon phénoménale, je la prends avec moi, ouvrant mon chemisier et dégrafant mon soutien-gorge afin d’allaiter. Ma petite se jette goulûment sur mon téton et se met à téter dans de grands bruits qui s’apaisent petit à petit. C’est alors que je réalise que le sous-directeur est dans la pièce et qu’il a certainement tout vu, y compris le ...
«1234...13»