Charles
Datte: 17/11/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
grosseins,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
coprolalie,
extraconj,
... corps, mais pour l’instant, ça me va très bien comme ça. Et j’adore ses baisers, à la fois tendres et fougueux, cette façon qu’il a de me considérer comme la plus belle femme du monde… De plus, je dois avouer que je recherche sa présence, elle m’apaise. Avec Charles, j’ai droit à un doux mélange de bébé, d’amoureux et de figure paternelle. Je sais, ça frôle l’inceste, mais en tant que femme, j’aime être chouchoutée, dorlotée, adorée. Je sais aussi que dans pas longtemps, je lui permettrai d’aller découvrir mes autres paysages, j’ai envie qu’il m’explore, mais ça m’effraie aussi… Nous avons recommencé par deux fois l’épisode de la voiture, mais ces fois-ci, ce fut plus torride. Charles sait me capturer les seins à pleines mains, les presser fortement et fermement pour me les vider, mais sans me faire mal. Et j’adore quand il torture de la sorte mes nichons bien gonflés ! — Oh oui, vas-y, presse-les encore ! Ce fut la première fois que je l’ai tutoyé ! J’ai rougi aussitôt. Il s’en est amusé : — Vous souhaitez que je les presse encore plus ?— Euh, oui, allez-y…— Ah non, ce n’est pas comme ça qu’il faut me le demander !— Pressez-les-moi bien, s’il vous plaît.— Ah non, ce n’est toujours pas la bonne ...
... formule ! C’est alors que j’ai compris ce qu’il attendait de moi, et là, je me suis carrément lâchée : — Vas-y, presse-les encore et encore ! Vide mes gros nichons !— Eh bé, vous passez d’un extrême à l’autre, chère Gally !— Ah euh… excusez-moi, je…— Humm, tu veux que je vide tes beaux gros nichons ? J’ai souri et j’ai répondu aussitôt, spontanément : — Oui, oui et oui ! Ce qu’il a fait en y mettant tout son cœur, ses mains et sa bouche. Un autre virage dans notre étrange relation. C’était avant-hier… Au final, j’ai remplacé mon gros bébé de mari par un autre gros bébé, qui est quand même plus délicat et attentionné, et au panorama plus vaste. Il est vrai que mon époux, même s’il s’en défend, continue à me reprocher en sourdine ma grossesse. À l’époque, je n’avais pas envie d’attendre un an ou deux, mais si j’avais su, je crois que j’aurais fait l’effort de patienter un peu. Toujours est-il que je suis quand même dans une drôle de situation, pareille à cette drôle de guerre que nous avons vécue en France, il y a presque quinze ans. Je reconnais que c’est très plaisant d’avoir un galant comme Charles, mais que va-t-il advenir de nous tous quand mon mari reviendra du Brésil ? Un grand merci à Vinc.