1. Roberta flasque (1)


    Datte: 18/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Roberta avait épuisé avec son mari toutes les boites échangistes et "mélangistes" de la région. Elle voulait autre chose et elle le voulait seule. Elle monta dans son cabriolet et fila à l’aventure. Après un log trajet, un chemin vicinal, bordé de grands arbres, débouchant finalement sur une grille ouverte, un grand parc lui succéda au fond duquel se nichait un manoir pur XVIIIème du plus bel effet. C’était un hôtel fort classieux. Roberta gara la voiture non loin de l’entrée et se présenta à la réception . Elle déclina son identité et on lui demanda d’attendre dans le salon. C’était fort calme. On avait l’impression que la demeure était déserte. Le salon feutré renforçait ce sentiment. Au bout de quelques minutes un larbin sans âge apparut et la pria de la suivre. Ils traversèrent la demeure, puis le jardin jusqu’à atteindre un petit pavillon plus modeste, probablement l’ancienne demeure du gardien. Le type ouvrit la porte, la pria d’entrer puis disparut en lui souhaitant un bon séjour, ce qui la surprit. Elle se tenait dans l’entrée, espace neutre bordé de tentures pourpres. Face à elle une porte s’ouvrit et Brutus apparut. Il la salua puis lui prit la main et la guida dans ce qui se révéla être une antichambre. Le type était courtois, modèle châtelain gentilhomme. Il devait avoir dans les 70 ans. Il la fit s’installer sur un sofa et lui édicta les règles du lieu. A partir de là , elle ne devait plus s’adresser à lui ou à quiconque. S’il lui arrivait de le faire, ce ...
    ... serait uniquement sous le terme de « Maître ». Quoi qu’il lui soit proposé, elle devait obtempérer sans regimber. La mature se dit qu’elle allait foutre le camp de ce lieu et abandonner le fameux Brutus à ses conneries. D’un geste de la main il lui indiqua des effets qui se trouvaient sur un valet. « Préparez vous. Quand vous serez prête, prévenez moi avec la sonnette » dit-il en indiquant l’objet posé sur la table. Il disparut. Une nouvelle fois Roberta devait enfiler un accoutrement quelconque pour satisfaire à quelque jeu lubrique, voulu par son tourmenteur. Elle déplia la pile de vêtements et comprit tout de suite. Ce coup ci elle allait se transformer en nonne. Lentement, elle enfila la culotte de laine hors d’âge, se banda la poitrine avec une écharpe de bure, enfila la longue robe noire et mit les sandales à lanières qui complétait son accoutrement. Quand elle eut fini, elle sonna. La porte s’ouvrit sur une pauvre clarté. Comme rien ne se passait, elle entra dans la pièce. Un autel y était dressé, surmonté par deux cierges. Devant l’autel d’épaisses tentures noires étaient tendues. Ce qui avec la pénombre ambiante, empêchait de voir le reste de la pièce . Un gnome apparut, surgi de nulle part, vêtu d’une soutane. Il lui fit signe de la suivre jusqu’à l’autel, puis de se mettre à genoux devant celui-ci les mains jointes. Elle s’exécuta. Le nain prit un calice et le lui tendit. Elle but s’attendant à trouver le goût du vin. Il n’en était rien. C’était un cocktail fort ...
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