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Roberta flasque (1)
Datte: 18/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
... alcoolisé, une espèce de punch avec beaucoup d’aromates. Le nain resta à côté d’elle veillant à ce qu’elle finisse la potion. Roberta était déjà pompette. Le nain reprit le calice et lui tendit un plateau d’argent sur lequel se trouvait une pilule. Drôle de communion. Elle fit non de la tête jusqu’à qu’une claque l’atteigne à la joue droite. Elle se mit à pleurer et avala le comprimé. L’effet fut quasi immédiat. Sa tête tournait, tandis qu’elle sentait une forte chaleur l’envahir. Le tout s’était déroulé sans le moindre bruit. Le nain la releva et la fit se poster debout devant l’autel. Elle se rendit alors compte que celui-ci comportait 4 anneaux. Deux à hauteur des poignets et deux pour les chevilles. Le gnome l’attacha ainsi face à la pièce, bras et jambes écartées. Plus de lumière se fit et Roberta se rendit compte que quatre ou cinq personnages l’observaient, assis dans des fauteuils au delà des tentures. Elle était finalement exposée sur une scène. Le nain avait disparu. Le sang tambourinait dans ses tempes. Elle restait ainsi ballante, ses jambes la soutenant sans plus. C’est à ce moment là que Brutus apparut. Encagoulé et vêtu de cuir, il restait chétif et malingre. Il s’approcha d’elle. Une liturgie se fit entendre qui emplit toute la pièce. Il avait à la main une dague effilée qu’il fit aller çà et là sur son corps. Elle hurla. Ce fut son dernier cri. Il lui enfonça dans la bouche un mors en caoutchouc qu’il boucla derrière sa nuque. Lentement il lacéra la longue ...
... robe, puis arracha les lambeaux en prenant soin de rester par côté pour que les spectateurs n’en perdent pas une miette. Puis il défit le bandage mammaire et les seins chétifs de la quinquagénaire apparurent au public. Elle frissonna malgré l’effet calmant de la drogue. Découper la culotte et arracher les sandales prirent un instant au vieillard. Elle était complètement nue, attachée, ouverte, exposée aux voyeurs immobiles. Le maître entreprit alors de la piquer avec son poignard. Sans hâte, sur les mamelles d’abord, insistant sur les tétons puis il descendit vers le ventre, piquant ensuite l’intérieur des cuisses. Chaque piqûre la faisait sursauter, même si le cocktail atténuait ses sensations ; elle se tortillait pour éviter la pointe mais rien n’y faisait. Le supplice dura une dizaine de minutes. Elle transpirait abondamment et bavait à travers le mors. Le maître avait maintenant abandonné sa dague. Il entreprit ses mamelles, la pelotant allègrement ; elle était fort plate mais il arrivait cependant à pincer ses chairs. Il s’en prit aux tétons avec rage. Il les saisit entre ses doigts et le les tritura violemment , ce qui arracha à Roberta fortes larmes et gémissements. Il tirait sur ses pointes turgescentes et les vrillait sans ménagement. Quand il eut fini il appliqua le même traitement à sa chatte. Ses grandes lèvres furent étirées dans tous les sens puis il tortura son clitoris. La douleur fut si intense que la mature se pissa dessus. Ses jambes l’abandonnèrent et elle ...