1. Un rêve tenace


    Datte: 18/11/2019, Catégories: fh, extracon, voisins, prost, grosseins, groscul, poilu(e)s, fête, BDSM / Fétichisme Oral préservati, fdanus, fsodo, uro,

    ... plaisir de récupérer les bijoux. Solange constata qu’il manquait la bague à laquelle elle attachait le plus d’importance sentimentale. Par terre, rien en vue. Je m’allongeai sur le carrelage pour explorer sous les meubles de cuisine. Solange s’accroupit et, munie d’une torche, m’éclaira sous le meuble. Toujours rien… En se déplaçant en canard pour fouiller l’obscurité, elle ne prit pas garde à sa position qui devenait involontairement très scabreuse. À terre, couché sur le flanc, j’eus droit à une superbe vision panoramique : cent pour cent vue de face… Des chaussures à talons rouge vif s’échappaient deux jambes largement ouvertes, aux cuisses musclées, gainées de bas couleur chair. De larges jarretelles noires maintenaient les bas pour, certainement, aboutir à une ceinture "ventre plat", à l’ancienne. L’aperçu furtif de sa petite culotte me ravit : un triangle de satin jaune discrètement bordé de frou-frou noir. Solange ne pouvait ignorer que j’étais en train de me rincer l’œil, et pourtant elle ne referma pas ses cuisses imposantes… Ceci m’incita à lui caresser délicatement le genou puis à remonter ma main baladeuse, en de légers effleurements, vers le haut de la cuisse dénudée. Solange frémit mais, à ma grande surprise, ne repoussa pas deux doigts téméraires qui s’immiscèrent sous le fin textile et épousèrent lentement sa fente sur toute sa longueur. Son cher mari l’interpella alors vivement du salon pour lui rappeler qu’il était pressé. Monsieur devait emmener ses ...
    ... copains assister à un derby footballistique de la Coupe de France. Je trouvai, en catastrophe, un prétexte plausible pour expliquer à ce supporter que je ne pouvais déposer la literie chez lui que vers dix-neuf heures (heure à laquelle, bien entendu, monsieur serait absent du domicile conjugal). Cela lui était parfaitement indifférent, mais son épouse accueillit ma suggestion avec un discret sourire complice. La porte du garage se referma alors que je prenais à bras le corps ce matelas encombrant pour suivre Solange qui, en roulant le lit d’appoint plié en deux, m’entraîna vers un petit cagibi attenant au local. Elle tint à placer elle-même, à bras le corps, le matelas déployé contre le mur. Je profitai du fait qu’elle me tournait le dos pour lui parcourir le cou de petits baisers humides tout en caressant ses bras dénudés qui soutenaient encore le matelas. Solange ne joua pas à la femme honnête et fidèle qu’on dépravait sournoisement. Elle se laissa aller au plaisir éphémère de l’instant et apprécia beaucoup qu’une main masculine s’empare de son sein gauche, moelleux à souhait. En plusieurs étapes, sans opposition véritable, j’arrivai à la trousser jusqu’à la taille avant d’aventurer la main droite entre ses jambes légèrement écartées. Debout, collé contre la croupe féminine, je ne pouvais rien voir, mais ma main découvrait une petite culotte satinée, libre de toute contrainte élastique latérale. Mes doigts curieux se noyèrent dans une toison abondante. Mon index revisita ...
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