1. Thérapeute


    Datte: 18/11/2019, Catégories: fh, fhh, médical, boitenuit, Collègues / Travail entreseins, Oral pénétratio, confession, h+medical, f+medical,

    ... faites-vous ? dit Marc, alors qu’une boule lui serre la gorge.— Je ne suis plus votre subordonnée. Vous n’êtes plus mon supérieur hiérarchique depuis 18 h.— Mais…— Je fais ce que j’ai envie de faire depuis longtemps.— Voyons, vous… Mais il ne peut continuer, ses lèvres sont happées par celles de la femme qui se plaque contre lui. Il ne peut pas résister. Elle le trouble si fort qu’il se laisse faire, n’osant tout de même pas prendre d’initiatives. Le baiser est torride. La coquine pousse sa langue dans sa bouche, cherchant la sienne pour batailler et jouer. Agnès s’occupe aussi de sa veste qu’elle pousse sur les épaules. Puis c’est le tour de la cravate, suivie par la chemise qui se défend un moment avec ses boutonnières trop étroites. Le contact de son torse contre la poitrine qui pointe est une brûlure. Maintenant elle attaque la ceinture. La braguette est une formalité, le pantalon tombe sur ses mollets. Il a le réflexe de soulever les jambes pour l’enlever complètement, ayant toujours eu en horreur la vision d’un homme pantalon sur les genoux, situation qu’il juge ridicule et malsaine. Agnès en profite pour y ajouter le slip et Marc se retrouve nu devant cette femme qui a abandonné ses lèvres et le pousse contre le fauteuil de son bureau où il s’affale. Elle s’agenouille. Il va lui « ordonner » de se lever, là encore ne supportant pas cette position qu’il juge dégradante et qu’il interdit à sa femme, même si elle ne se prive pas de le pomper, mais sur le lit et couchée à ...
    ... côté de lui. — Ahhh ! C’est tout ce qui sort de ses lèvres alors qu’Agnès vient d’enfourner son sexe raide dans sa bouche et attaque aussitôt de lui pomper le dard, jouant de sa langue et de ses lèvres. Il n’est plus qu’une marionnette entre ses mains. Oubliées ses résolutions de directeur intègre. Oubliées ses promesses de fidélité. Il n’est qu’une queue que l’on suce. Il n’est qu’un regard qui voit cette tête brune s’activer sur lui. Un regard qui croise parfois celui d’Agnès qui brille d’une lueur de plaisir et qui sourit dès que sa bouche se libère du mandrin dressé. Oh, non ! Elle s’arrête. Il sentait justement que sa gourme se rassemblait pour jaillir. D’un geste dans son dos Agnès libère sa poitrine. Deux seins blancs, énormes masses de chair tendre que sa position amplifie encore. Deux seins que les mains de la propriétaire pressent et rassemblent pour les amener au contact de la bite abandonnée et qui vibre seule dans son coin. La bite disparaît dans le sillon entrouvert et aussitôt refermé sur elle. Oh, la douceur de cette gorge qui mérite son nom, sillon étroit où la queue coulisse maintenant sous les mouvements d’Agnès. La caresse est douce, délicate, humide. La femme laisse tomber dans le conduit formé, des flots de salive qui rendent la glissade sensuelle et érotique par le bruit de gorge humide qu’elle libère. Il ne va plus tenir longtemps. Sa maîtresse l’étreint si bien que sa semence ne peut plus être refrénée et se rue en flots puissants, telle une fontaine ...
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