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Mon collègue black
Datte: 18/11/2019, Catégories: fh, couleurs, extracon, Collègues / Travail grossexe, fdomine, Oral préservati, pénétratio, confession,
... va aller sabine, détends-toi, j’ai l’habitude.— Pas moi ! dis-je dans un souffle rauque. Je n’aurais jamais imaginé m’offrir et me donner à un tel sexe… et d’ailleurs, je ne pensai pas qu’un membre aussi large puisse exister. La pénétration se fait millimètre par millimètre, me laissant ressentir toute la largeur de cette queue de black. J’essaie de me détendre un maximum dans tous les sens du terme. Pascal est doux et ferme à la fois dans sa manœuvre et petit à petit son sexe épais s’enfonce dans mon vagin jusqu’à en cogner le fond m’arrachant un cri de surprise et de douleur à la fois. Je ne peux plus bouger, caler comme jamais avant sur une queue. Je passe ma main entre mes cuisses pour évaluer les dégâts. Je me rends compte qu’à peine la moitié de ce monstre est en moi. Qu’importe, j’ai pris ce que je pouvais et mon amant semble s’en satisfaire. Il me lève les jambes me tenant par les chevilles pour commencer de très lent va-et-vient. Chaque mouvement m’arrache un cri de plaisir et de surprise partagés. Chaque millimètre de cette barre de chair me fait de l’effet et je commence à prendre plaisir à mesure que mon vagin se fait à la dimension de la bête. Mon partenaire se fait alors plus actif donnant des coups de reins plus francs, me faisant cette fois hurler de plaisir, me faisant sans doute remarquer par les voisins. Je jouis en hurlant lorsqu’un doigt vient titiller mon clito et qu’une main se met à malaxer mes seins. — Tu aimes ma grosse queue, Sabine ?— Oui, mais ...
... quel engin ! C’est monstrueux…— Monstrueux de plaisir tu veux dire !— Oui ! Désolée pour les voisins.— Ça va aller, détends-toi, j’ai l’habitude… On passe aux choses sérieuses alors ?— Comment ça ? Je suis déjà épuisée…— Vas-y, mets-toi à quatre pattes. Je m’exécute alors. Pascal se replace derrière moi, m’attrape les hanches et place directement son gland à l’entrée. L’introduction se fait de manière plus aisée. Sans doute suis je plus détendue tant physiquement que psychologiquement, face à ce monstre qui m’a apprivoisée. À nouveau, je sens mes chairs se distendre au maximum pour accueillir ce membre. La pénétration semble plus profonde encore en levrette et Pascal me tire vers sa queue à chaque va-et-vient. Il me lime de manière régulière, gardant le même rythme, mais alternant les profondeurs me faisant gémir ou hurler. Il compose sa symphonie de l’amour au gré de son inspiration. Il me fait feuler encore plus lorsqu’il introduit son pouce dans mon anus me faisant goûter à une pseudo double pénétration. J’espère qu’il ne voudra pas aller plus loin, car une sodomie avec un membre pareil m’est impossible. Il n’en fait rien se contentant de me limer avec de plus en plus d’ardeur. Je ne le sens même plus coulisser en moi tant la longueur rentrée est impressionnante. J’ai juste l’impression que mon vagin se plisse et se déplisse sous les coups de reins sans connaître de zone vide. C’est une sensation étrange que de sentir glisser un tel membre sans notion de vacuité. Il décide de ...