Mon collègue black
Datte: 18/11/2019,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
Collègues / Travail
grossexe,
fdomine,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
... aussi à gémir et souffler, annonçant l’imminence de son plaisir. Les va-et-vient se font bestiaux. Pascal me besogne comme une brute. — Sabine, je vais te remplir, ça vient, j’ai toujours rêvé de te dévergonder, de faire de toi une salope à black. Depuis que je bosse avec toi, j’espérais te baiser, te défoncer la chatte comme maintenant. Ah oui, tiens, prends ça, salope ! Son pieu est à son maximum en moi quand je sens des jets puissants au fond de mon ventre comme si un karcher se libérait dans mon ventre. Je pense que la capote a dû céder ou qu’il l’a retirée sans que je m’en aperçoive pour que je le sente si bien se répandre en moi. Il se retire enfin, laissant mon ventre béant. Son sexe luit devant mes yeux et j’aperçois le préservatif intact, mais bien rempli toujours en place. Je ferme les yeux, épuisée. Ce répit n’est que de quelques instants. En effet, je sens le sexe de Pascal se poser sur mes lèvres tandis qu’une de ses mains m’attrape la tête pour la presser contre son gland. — Nettoie-moi bien la queue, salope, je veux qu’elle soit toute propre. Je ne peux le prendre en bouche vu les ...
... dimensions, mais de la langue je m’applique à effacer toute trace de cette mémorable baise. Son sexe est gluant de l’abondante semence dont il a rempli le préservatif. De ses mains, il guide ma tête pour que je fasse disparaître tout ce sperme. Sa jouissance est épicée et l’odeur très prenante, mais je prends plaisir à la déguster. Pascal en profite pour me faire lécher ses couilles que je prends une à une entièrement en bouche triomphalement. C’est la seule partie de sa virilité qui puisse trouver pleinement sa place dans mon orifice buccal. Après ce nettoyage en règle, je me repose enfin quelques instants et au bout de 30 min, Pascal me réveille pour me dire qu’il est déjà tard. Je me rhabille et m’apprête à partir quand il m’embrasse en me pelotant vigoureusement les fesses et me dit à l’oreille : — Le dossier n’est pas bouclé, il faudra que l’on se revoie un autre soir pour le terminer. C’est sur le chemin du retour, alors que mon ventre se souvient encore des assauts de mon collègue que je réalise que cette soirée m’a vu m’offrir à mon premier homme noir et qu’il a fait de moi une salope à black.