Un baptême de l'air au 7ème ciel
Datte: 19/11/2019,
Catégories:
fh,
avion,
ffontaine,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... de l’autre je glissais sur sa fente qu’elle me présentait sans aucune pudeur. Elle était cambrée, totalement offerte à ma main. Sa toison était encore humide, tant par la jouissance qu’elle avait vécue durant le vol que par la sueur que la température dans l’avion ne faisait qu’accentuer. Les gouttelettes de transpiration qui roulaient sur son dos pour aller mourir dans la fente de sa croupe l’embellissaient un peu plus chaque seconde. Les rayons du soleil faisaient scintiller toute la surface de son dos. Elle était belle. Elle sentait bon la femme. La vraie femme, celle qui n’a pas honte de s’offrir l’espace de quelques minutes, juste pour pleinement jouir des plaisirs d’une rencontre furtive mais intense. Impudique telle une maîtresse pressée, elle s’affairait sur mon sexe. Elle était heureuse d’assouvir son fantasme. Mes doigts jouaient sur son bouton turgescent une partition qui suivait le rythme qu’elle avait adopté sur mon sceptre qu’elle tenait à pleine main. Mon index et mon majeur exploraient les parois de sa grotte d’amour pendant que mon pouce découvrait la profondeur de son petit trou interdit. Elle s’était complètement relâchée. Aucune résistance n’interdisait l’entrée de cet orifice tabou. J’allais et venais par des mouvements amples et rapides sans aucune difficulté. Après seulement quelques secondes de mes caresses intimes, un nouveau jet long et puissant vint me lubrifier les doigts. La banquette sur laquelle nous nous ébattions était trempée. Chaque fois que ...
... je bougeais imperceptiblement la main, elle me gratifiait de son liquide odorant. Je découvris ce que voulait dire une femme « fontaine ». Me sentant au bord de l’explosion, je la relevai et l’installai sur la banquette, appuyée sur le dossier, la croupe bien cambrée. — N’ayez aucune crainte, je ne vous ferai pas mal. Je veux juste vous voir heureuse encore quelques instants, lui susurrai-je dans l’oreille.— Allez-y ! Faites-moi encore jouir ! Faites-moi mourir de bonheur ! répondit-elle en posant sa tête sur ses bras. J’avais sous les yeux le plus beau spectacle qu’un homme peut espérer d’une femme. Une magnifique paire de fesses blanches, ruisselantes de sueur et de cyprine odorante, avec deux cavités béantes et profondes qui n’attendaient qu’un sexe pour les combler. Je ne savais pas par lequel commencer. Instinctivement, je m’insérai dans sa grotte d’amour, sachant pertinemment que je ne tiendrais plus très longtemps après le traitement qu’elle m’avait fait langoureusement subir. Je faisais de longs allers-retours, jusqu’à la garde, au plus profond que me permettait la longueur de mon sexe en prenant garde de maîtriser mon mouvement pour ne pas exploser trop vite. Une main sur sa nuque, l’autre en train de pétrir ses seins, je lui dépoussiérais le corridor du bonheur de mon pinceau en érection ! J’étais à deux doigts de l’extase. Aussi, souhaitant encore faire durer notre plaisir, je m’arrêtai à la limite de la jouissance. Une petite goutte de sperme perla au bout de mon ...