Un baptême de l'air au 7ème ciel
Datte: 19/11/2019,
Catégories:
fh,
avion,
ffontaine,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... gland. — J’ai failli jouir sans vous !— Allez-y maintenant, je suis prête. Prenant cela pour un encouragement, mes mains ouvrirent un peu plus son anus et je pénétrai lentement, millimètre par millimètre pour lui éviter une quelconque douleur. Elle était tellement prête que je ne ressentis aucune contraction. Elle était ouverte, avide d’un plaisir interdit. Pour décupler sa jouissance, elle se caressait le clitoris et insérait par moment ses doigts au plus profond de son sexe. Je sentais ses doigts au travers de la fine peau qui sépare les deux orifices. Il ne me fallut pas bien longtemps pour exploser. Elle émit un cri sourd et rauque qui ne laissait aucun doute quant à la jouissance qu’elle ressentait. Elle se crispa exactement au même moment que moi. Le fruit de ma jouissance se déversait sans discontinuer dans cette cavité que la bienséance interdit d’explorer. Sa main vint me caresser les testicules, un peu comme pour s’assurer d’en extraire toute la semence. Totalement vidé, épuisé, les jambes molles, je restais en elle, la tête posée sur son épaule, sans rien dire pendant qu’elle continuait de me caresser délicatement l’entrejambe. Elle reprenait doucement sa respiration et, ma main sur son sein, je sentais son cœur battre la chamade. Je la couvrais de baisers sur toute la surface de son dos pour la remercier du bonheur qu’elle venait de me procurer. Elle releva la tête et se tournant vers moi, elle m’embrassa langoureusement. — Merci ! J’en avais vraiment envie, me ...
... dit-elle en me souriant. En même temps que je l’aidais à se rhabiller dans cet habitacle exigu, je caressais ses formes pour pleinement profiter de cette situation que je supposais unique. Elle se laissait faire, heureuse qu’elle était d’être en présence d’un homme qui, bien qu’il l’ait sodomisée, la respectait et la regardait pour le plaisir des yeux. Elle était belle. Elle avait changé de visage. Ses traits montraient une forme de plénitude. — Et pour la banquette, vous allez faire quoi ? me demanda-t-elle en fronçant les sourcils.— Vous faites pas de bile ! On a ce qu’il faut pour nettoyer quand les gens sont malades. Je m’en occuperai plus tard. L’essentiel était de vous voir prendre du plaisir. Au moment où nous descendîmes de notre petit nid d’amour, j’entendis dans le fond du hangar la voix du secrétaire général résonner. — Jean ! T’es là ? Ne traîne pas mon gars ! Tu as d’autres clients qui viennent d’arriver ! Allez ! On t’attend !— On arrive ! On arrive ! J’ai fini… la visite ! lui criais-je pour me faire entendre. Après l’avoir embrassé une dernière fois avec ce triste sentiment que je ne la reverrai plus, nous retournâmes au clubhouse, elle pour retrouver son bonhomme et moi pour découvrir de nouveau clients grâce auxquels je poursuivais ma quête d’heures de vol. — ---- Épilogue — ---- Un an plus tard, presque jour pour jour, je me présentai à des sélections pour entrer dans une école de pilotage en qualité d’instructeur. En passant la porte de la grande salle dans ...