L'hôtel du bout du monde
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
couplus,
extracon,
vacances,
hotel,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
attache,
humour,
policier,
... surprendre les deux amants au moment où Ricardo achevait de se débarrasser de son pantalon, exhibant valeureusement une queue tendue de bonne taille. Devant cette entrée fracassante de l’homme, le couple illégitime arrêta un instant ses activités. — Suzanna ! Qu’est-ce que je t’avais dit ? Je me tenais légèrement en retrait, prêt à faire face à un dénouement brutal mais en même temps satisfait que Ricardo ne puisse continuer plus en avant ses agissements. — Oh chéri ! Je suis désolée, sincèrement, je n’ai pas pu résister !— Garce ! Qu’est-ce que je t’avais dit la dernière fois ? Mouais, en plus, ça n’était pas son coup d’essai ; je m’en étais bien évidemment douté dès que je l’avais vue pour la première fois. — Oui, je sais : je devais te prévenir pour que tu participes. Mais tout s’est passé si vite, je n’y ai pas pensé. Tu me pardonnes ? J’avais dû mal entendre ce qu’il venait de se dire… En fait, j’avais même dû louper tout un épisode de cette intéressante série pornographico-culinaire puisque, sous mes yeux ébahis, Sanders s’approcha de sa femme en déboutonnant son froc et présenta sa queue dressée et bien rouge devant sa femme qui n’attendait pas une seconde de plus pour se mettre à genoux afin de gober le membre du gros type. Elle l’enfourna dans sa bouche avec délectation comme on goûterait un abricot et se mit à aller et venir autour du gland et de la hampe. De manière régulière, elle ressortait la queue maritale d’entre ses lèvres pour la léchouiller comme on déguste ...
... une crème glacée avant de la reprendre en bouche afin de la pomper avec énergie. Ne sachant trop que faire, je regardai Sanders qui, les yeux mi-clos, savourait la caresse experte de sa femme. Un coup d’œil à Diaz me rassura quant au fait que lui non plus n’en menait pas large et ne savait plus trop quel comportement adopter. Sanders abandonna la position, acheva de se dévêtir et se coucha sur le sol. Avec son gros bide d’adepte de la bonne chair, il me fit un peu penser à une baleine blanche pitoyablement échouée sur une plage de sable. Sa femme enleva également le reste de ses vêtements et vint s’accroupir au-dessus de son mari, puis elle descendit doucement s’empaler sur le membre dressé vers le ciel tel un monolithe mystique. C’est alors que l’hôtelier sembla se souvenir qu’il n’était pas seul : — Et alors Monsieur Diaz, ma femme ne vous intéresse plus ? Vous me vexez ! Le latino ne se fit pas prier et vint se placer à côté de la femme tout en se branlant doucement avant de présenter sa queue pour prendre la place précédemment occupée par Sanders. Madame Sanders se livra alors à un ballet frénétique pour, d’un coté, pomper le gland du bellâtre, et de l’autre danser la gigue sur la bite de son mari. Vu comment elle accordait bien ses mouvements, je me dis que ce n’était sûrement pas la première fois qu’elle faisait ça. Et moi pendant ce temps ? Ben je dois bien vous admettre que je restais là un peu comme un con à mater bêtement les ébats de ce trio improvisé. N’allez pas ...