Mathilde (1)
Datte: 19/11/2019,
Catégories:
Hétéro
... faire du poisson avec des légumes, ça te va? — Super j’adore ça. — Je te propose de me suivre dans la cuisine pour que nous puissions continuer à discuter. Et pendant que ça cuit, on prendra l’apéro. Elle se leva aussitôt et me suivit dans la cuisine. Je préparai le poisson, sel, poivre, citron, des aromates et j’epluchai mes légumes et les coupai tout en plaisantant avec elle. Je sorti du vaisselier l’alcool et des verres et nous retournâmes dans le salon. Je repris ma place devant elle quand elle m’invita plutôt à venir à côté d’elle. Nous trinquames puis nous continuâmes à plaisanter. J’avais beaucoup de difficultés à ne pas regarder son décolleté ou ses seins qui déformaient la matière. — Je peux te poser une question, commença t-elle. — Je t’en prie. — Tu me trouves attirante? Pris au dépourvu, je dus mettre mes idées en ordre avant de lui répondre. — Je mentirai en disant le contraire. — Ça me rassure car je trouve que tu as le regard très baladeur. — Excuse moi mais ça fait un moment qu’il n’y a pas eu de filles ici. — Je m’en doutais un peu. Alors dis moi ce qui te plaît chez moi. Et évite les traditionnels, yeux, bouche ou visage. Sois franc. — Pour être tout à fait franc, tu as de beaux seins et un joli cul. Tes jambes ne sont pas suffisamment montrées à mon goût alors qu’elles sont magnifiques. — Au moins c’est franc. Ça te dérange si je retire mes chaussures, elles me font mal à force. — Fais comme chez toi. — Ne me dis pas ça, je pourrai le faire. — J’insiste. ...
... Fais comme bon te semble. — En fait chez moi je me balade souvent en petite tenue voir nue, donc ce serait mal venu ici. — En effet. Promis je ne m’en offusquerais pas, rigolais je. Elle rit avec moi et se leva. Elle baissa les bretelles de sa robe puis la fit glisser le long de son corps. J’étais bouche bée. Elle portait un magnifique coordonné noir en dentelle. Elle passa les mains dans son dos, retira son soutien gorge, et baissa son shorty. J’eus beaucoup de mal à avaler ma salive. Mathilde était devant moi nue. Ses seins étaient comme je l’esperais. Gros, ferme et tenant parfaitement. Son minou totalement imberbe m’invitait à le caresser. Elle se rassit et ma mine déconfite la fit sourire. — À toi maintenant. Je ne dois pas être seule sans rien. Mécaniquement je me levai, puis m’executai. Quand mon pantalon fut retiré, je vis son regard s’attarder sur la bosse que faisait ma queue dans mon boxer. Je le retirai et ma bitte sursauta quand le bout de tissu fut retirer. Elle me regarda avec gourmandise et sortit sa langue sur le côté. Je me rassis à côté d’elle. — Je vois que ça te plaît ce que tu as sous les yeux. — Plutôt oui. Toi aussi ça te plaît. — Beaucoup. Elle se rapprocha de moi puis posa sa main droite sur ma queue. Elle imprima un léger mouvement de bas en haut tout en me regardant droit dans les yeux. Et comme si de rien n’était, elle s’inquiéta de savoir si notre repas était cuit. Je me levai et en allant dans la cuisine, je respirai un grand coup. Le poisson ...