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Mathilde (1)
Datte: 19/11/2019, Catégories: Hétéro
... manquait encore de cuisson. Je revins dans le salon où elle m’attendait allonger. Ma queue fit un nouveau soubresaut. Je m’approchai de ce corps puis je le frolai de ma main en partant du bas de ses jambes jusque ses seins. Elle frissonna et je vis ses tétons pointés. Elle se redressa. Ma queue était au niveau de son visage. Elle s’approcha un peu plus et deposa un baiser sur le gland gonflé de désir. Puis elle ouvrit la bouche et le prit dans sa bouche. Elle m’arracha des rales de plaisir puis s’arrêta. — J’en garde pour le dessert. Encore combien de temps avant de manger ? — Au moins le temps que je te fasse jouir. — Tu es bien sure de toi? Sans lui laisser le temps de continuer, je la fis s’asseoir et je me mis à genoux devant elle. Je lui deposai un baiser sur les lèvres, puis je descendis vers seins où je mordis doucement les tétons puis jusqu’à son mont de Vénus. J’embrassai ses grandes lèvres tout en introduisant un doigt dans sa fente totalement détrempée. Elle avait un goût acidulé et sucré à la fois. Sa chatte faisait quelques bruits obscènes de clapotis et je la sentais de plus en plus fébrile. Dix minutes de ce traitement eurent raison de mon amante. Elle jouit dans un profond cri de plaisir. Je me relevai et echangeai avec elle un long baiser langoureux. Elle se dégagea et remarqua que ma queue suintait de plaisir. Elle la reprit en bouche, décider à la nettoyer. Le repas fut vite englouti et la table vite débarrasser. Mathilde ...
... me suca encore à deux reprises puis nous nous installames dans les bras l’un de l’autre devant la télé. — Tu restes ici cette nuit? Lui proposais je — Avec plaisir. Et puis ta baignoire m’a donné des idées. — Tu ne bosses pas demain ? — Non c’est mon jour de repos. Mais il faudra que je rentre chez moi, tout de même. qmcqiibh Le film terminé, j’emmenai ma belle dans la chambre. Nous nous couchames collé l’un à l’autre. Nos bouches et nos langues entrèrent en communion. De longs baisers langoureux avec nos mains qui glissaient le long de nos corps. Nous reprimes nos échanges de plaisir. Cette fois ci elle vint se mettre sur moi, sa chatte au niveau de mon visage. Je pus ainsi la lécher et la doigter pendant qu’elle me suçait. D’abord un doigt puis un second dans son vagin trempé de désir et de plaisir. Je glissai un autre doigt dans le sillon de ses fesses jusqu’à sa rondelle. Elle sursauta et m’avoua n’avoir jamais été prise ou doigter à cet endroit. Elle se releva et vint présenter son antre de plaisir au dessus de mon chibre. Elle descendit doucement afin de sentir toutes les parois de son vagin occupée par ma queue. Elle commença à monter et à descendre au rythme de sa respiration et de ses seins tressautant. Je les saisi et j’y portai ma bouche, le léchant et les tétant comme un affamé. La jouissance monta vite pour nous et ce sont de puissants jets de sperme qui partirent dans la capote. Nous nous couchames enlacés et nous endormirent