1. Mon Mac Allemand (2)


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Transexuels

    ... l’instant j’ai l’exclusivité ; dans quelques jours quand je l’aurai bien travaillée vous pourrez en disposer. Je vous ferai signe. Ils s’éloignèrent, j’entendis celui qui voulait m’enculer dire : — Ta pute m’a vraiment excité, il faut que je baise un trou, si au moins ta sœur était là, elle ne dit jamais non. — Pas de chance, elle est en train de se faire fourrer par deux jeunes blacks. — Saloperie, ils payent bien au moins ? — Elle ne fait payer que les vieux… comme toi, dit Rolf dans un éclat de rire. Il va falloir te rabattre sur ta bourgeoise. wzeemi — Tu parles ! depuis qu’elle m’a pondu trois chiards la « chose » ne l’intéresse plus, une fois par semaine elle s’allonge sur le dos et écarte ses grosses cuisses, elle ne réagit pas plus qu’un sac de patates quand je la fourre, elle suce mal et refuse que je l’encule. Lui faire une minette me dégoutte, elle est poilue du nombril jusqu’à la raie du cul la grosse vache et je ne parle même pas de ses culottes de grand-mère qui puent la pisse. Les deux autres éclatèrent de rire, son compère lui dit : — Alors il te reste les filles de Paolo. — Ouais mais chez Paolo il faut payer et c’est pas donné. — Il y a une autre solution dit Rolf, baise un mec, il y a suffisamment de coins de drague dans le secteur. — J’aime pas les pédés, ces fiottes me débectent. — Et pourtant tu voulais enculer ma pute, tu as bien vu qu’elle avait une bite, tu l’as laissé te sucer, tu lui as tripoté la bite, bizarre non ? tu serais pas un peu pédé ...
    ... toi-même ? — Pédé moi ? ça va pas, c’est vrai que j’ai envie de lui foutre ma queue dans le cul mais on dirait vraiment que c’est une femme, et puis c’est pas vraiment une bite de mec qu’elle a. Nouveaux rires. Après il furent trop loin pour que je puisse suivre la conversation. Je venais de me faire violer la bouche par deux inconnus que je n’ai même pas vus. Ils s’étaient servis de moi comme d’une poupée gonflable, j’étais juste une chose, un orifice pour eux. Malgré ma situation humiliante, dégradante, j’éprouvais un sentiment de fierté, je venais de faire jouir deux hommes dont un au moins était homophobe… Une longue attente commençait, visiblement ses deux invités étaient partis, je n’entendais plus de bruits de conversation, de temps en temps mon plug anal se réveillait et me faisait me trémousser, au moins ne m’avait-il pas complètement oubliée. Ma station debout sur mes escarpins devenait pénible en plus j’avais envie d’uriner. Il revint enfin, retira mon masque, la nuit était en train de tomber. Il détacha la chaine de l’arbre et m’ordonna de rejoindre la terrasse, il marchait derrière moi, me tenant toujours en chaine. Je marchais maladroitement, les mouvements de mes jambes étant limités par la chaine reliant les menottes. Quand nous fumes arrivés il me retira les menottes et me mit un collier en cuir, comme à un chien. Il s’assit, je restai debout, une fois de plus. Ma vessie me démangeait, je lui demandai l’autorisation de faire pipi, il accepta mais m’accompagna aux ...
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