1. Mon Mac Allemand (2)


    Datte: 21/11/2019, Catégories: Transexuels

    Mon Mac Allemand 2ème partie : Le lendemain, vendredi, je n’avais pas vraiment la tête à mon travail, j’attendais avec une impatience mêlée de crainte le samedi. En rentrant je découvrais un nouveau mail. Il m’enjoignait de prévoir une tenue sexy pour la nuit, une nuisette aussi transparente que possible, pas de problème j’en avais plusieurs. Je passai la journée de samedi à me préparer, épilation soigneuse, choix des tenues et des dessous ; enfin l’après-midi je me fis un lavement, je rinçai mon colon cinq fois pour être sûre d’être bien propre. Mon cœur palpitait quand je partis, j’avais environ 40 minutes de route. J’arrivai pile à l’heure fixée par Rolf, je garai ma voiture dans la cour, pris mon sac de voyage dans lequel j’avais rangé mes tenues et sonnai. Il m’ouvrit la porte, il portait un pantalon cuir très ajusté, un tee shirt en résille noire et tenait à la main une cravache. Je le saluai respectueusement, il ne prononça pas un mot et me fit signe de le suivre puis il me désigna la salle de bain avec la cravache et dit : — Tu as quinze minutes pour te préparer, pas une de plus, chaque minute de retard te vaudra cinq coups. — Bien Maître je vais me dépêcher. Je posai mon sac et sorti la tenue que j’avais prévu de mettre, petit slip tanga en dentelle extensible bleu Roy avec des rubans vert clair, soutien-gorge assorti, porte jarretelles en satin blanc avec dentelle grise, une robe habillée bleu Roy moulante pas trop courte, mais très décolletée, dans le soutien-gorge ...
    ... je glissai deux faux seins en silicone pour faire un bon bonnet C. Avant de partir j’avais déjà mis des bas couleur chair et le porte jarretelles et mis un discret fond de teint sur mon visage, je n’avais plus qu’à mettre un peu de fard à paupières et du rouge à lèvres, je mis également une perruque blonde courte et finissais en enfilant une paire d’escarpins blancs. Je quittai la salle de bain et me rendis sur la terrasse ou il m’attendait, il jeta un coup d’œil à sa montre et me fit signe de me tourner, il dit : — Ça va pour la tenue, mais tu as trois minutes de retard, tu sais ce qui t’attend ? — Oui Maître. Il m’ordonna de retrousser ma robe et de me pencher en prenant appui sur la table avec mes coudes. Il dit apprécier ma culotte, qu’il baissa en ajoutant : — Je vais te faire une faveur grosse pute, je te fais grâce de deux coups pour ta jolie culotte, tu en auras donc treize au lieu de quinze. — Merci Maître. Soudain il commença à frapper avec sa cravache, les coups furent violents, je criai ; — Ah ce n’est plus de la fessée pour petite fille, à partir de maintenant c’est un vrai dressage que tu vas subir. Je vais faire de toi une vraie esclave, tu m’appartiens et je disposerai de ton corps comme il me plaira. Les coups pleuvaient sur mon fessier, c’était beaucoup plus violent, je supportais bien les fessées avec le martinet, mais n’avais jamais été « travaillée » à la cravache. Je hurlai de douleur et pleurai, ça avait l’air de l’exciter, les coups devenaient de plus ...
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