Une période extraordinaire en trois parties
Datte: 22/11/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
intermast,
Oral
pénétratio,
collection,
BDSM / Fétichisme
... douce, et si sensible. Du moins c’est vrai pour moi ; j’ai vraiment un cul magnifique, extrêmement désirable ; il fait un effet énorme sur les mecs à qui j’en ai autorisé la vue et le toucher. Bien sûr, si vous leur permettez ça, ils iront toujours plus loin et plus profond dans leur désir insatiable de nous pénétrer de toutes les manières possibles. Mais comme j’adore ça… Je m’admire dans le miroir, sous toutes les coutures. Que ma taille est fine ! Que mon nombril est beau ! Que mes seins sont bien galbés, je les trouve parfaits de forme, de densité, et de texture de peau. Les aréoles plus foncées soulignent délicieusement les pointes érigées, avides de baisers et de suçons. Je tourne le dos au miroir, me penche en avant et regarde par-dessus mon épaule le reflet de mes arrières. Quelle croupe ! Quelles fesses adorables, si bien galbées, si harmonieuses ! La perfection n’est pas loin. Ma peau des fesses est si fine et si belle que si elle était à vendre, elle vaudrait une fortune ! Je me cambre, jambes très peu écartées, pour bien faire ressortir le relief de ma fente nue et dodue, soulignée par le dépassement souple et ourlé de mes nymphes accrocheuses. La beauté et la grâce de mes doigts qui jouent avec mon petit bouton des délices, me fascinent. Si j’étais un homme, et si j’avais affaire à une fille aussi bien faite que moi, avec un cul aussi beau, je crois que je préférerai la prendre par derrière, en levrette, tellement la vue est magnifique et troublante. De plus, ...
... dans cette position, la fille peut merveilleusement fantasmer, je le sais d’expérience. Elle peut imaginer plein de choses qui se passent dans son dos, avec des tas de mecs différents, soit qu’elle les invente de toute pièce, tous plus mignons les uns que les autres, et super bien montés évidemment, soit qu’elle les a croisés le même jour, comme ce noir grand et athlétique qui a traversé le passage clouté, en sens contraire de moi, juste en sortant du métro. Je m’étais demandée avec trouble si sa bite était plus grosse et plus longue que la moyenne, si elle était entièrement noire ou bien si le gland était rose comme le creux de ses mains. J’en étais toute mouillée. Savait-il bien s’en servir? Tenait-il longtemps l’échange, comme on dit au tennis ? Lorsque les premiers poils sont apparus sur mon mignon pubis, aux environs de douze ans, et surtout quand mes seins ont commencé à pousser leurs pointes contre mes tee-shirts, je m’en souviens, j’étais obsédée par les toutes les choses qui concernent le sexe. Je me masturbais tous les jours, plutôt toutes les nuits, plus ou moins longtemps, avec plus ou moins d’intensité, mais toujours avec un immense plaisir. J’avais découvert l’endroit où mes parents cachaient leurs livres érotiques, et je les avais tous lus ou plutôt dévorés discrètement, la nuit dans ma chambre, avec un trouble énorme et des masturbations insensées. Mon éducation sexuelle, bien que théorique en ce qui concerne la relation à deux, n’en était pas moins vaste. J’ai ...