1. Une période extraordinaire en trois parties


    Datte: 22/11/2019, Catégories: f, fh, ff, ffh, intermast, Oral pénétratio, collection, BDSM / Fétichisme

    ... toujours su bien dessiner, et à cette époque, sur un de mes cahiers, je dessinais des couples enlacés, s’embrassant ou faisant l’amour. Le plus souvent, dans mes dessins, l’homme pénétrait la femme par derrière. Peut-être est-ce parce que j’avais été très troublée par la vue de chiens en train de s’accoupler ? Ou bien est-ce quelque chose de naturel, au fond de moi, si j’ose dire ? J’aimais me masturber dans cette position d’accueil, en présentant mes fesses et ma fente dodue à un inconnu fantasmé, aux contours et au visage flous, mais au pénis précis, ferme et vigoureux, aux couilles fascinantes. Pour que personne à la maison ne découvre mes dessins secrets, j’emportais mon cahier à l’école et c’est là que ma copine Virginie, fouillant un jour dans mes affaires pour chercher mon cahier de mathématiques, l’avait découvert. Elle l’avait bien regardé, et une fois que nous étions seules, elle me l’avait avoué en disant d’un air admiratif : — Je n’aurais pas imaginé ça de toi ! C’est super beau et excitant ! Ma première réaction avait été plutôt honteuse d’être ainsi dévoilée dans mes secrets les plus protégés, mais comme à l’évidence, elle trouvait ça très bien, une complicité chargée de sensualité trouble s’était vite installée entre nous. Nous nous arrangions de plus en plus pour nous retrouver seules, pour nous frôler, et un jour que nous étions seules dans ma chambre, cela devait arriver, nous nous étions déshabillées mutuellement, sous prétexte de comparer nos jeunes ...
    ... seins, nos fesses déjà bien rondes et fermes, ainsi que notre bonbon fendu et fondant, mal dissimulé derrière nos poils encore peu fournis. Pour " voir ce que cela faisait d’embrasser un garçon ", nous nous étions mutuellement prêté nos lèvres et notre langue. Très vite, nous avions été terriblement troublées, notre corps avait exprimé son désir, et nos cuisses s’étaient mouillée de ce qui coulait de nos petites fentes vierges. Les caresses étaient venues tout naturellement et cela avait été merveilleux de partager la douceur de nos langues, de nos caresses, du contact de nos seins. Nous avions adoré réciproquement nos odeurs intimes. Nous étions stupéfiées de la surprenante et amoureuse efficacité de notre langue, si habile à s’insinuer là où nous étions déjà femmes, indiscutablement, et où le plaisir est le plus vif. Nous offrir notre jouissance était encore mille fois mieux que mes masturbations, ce qui n’est pas peu dire ! Mais mon expérience avec Virginie avait trop peu duré, nous n’avions échangé nos caresses que deux fois, car nous étions en fin d’année scolaire. Aussitôt après les classes, je partais en vacances. Étalée sur la plage, jambes grandes ouvertes à la chaude caresse du soleil qui traversait le léger maillot de bain, je jouissais seule, immobile, en me souvenant de nos caresses avec Virginie, de sa langue, que le soleil tentait de remplacer, avec une certaine efficacité, je dois dire. Mais à la rentrée il n’y avait plus de Virginie, sa famille avait déménagé dans ...
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