1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°931)


    Datte: 22/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pas de bévues en présence des invités de Monsieur Le Marquis mesdemoiselles ou vous recevrez la juste correction qui vous sera due si vous commettiez la moindre petite erreur ! Brave ! Non vraiment pas ! Nous continuâmes le service qui nous mena aux places où étaient assis nos Maîtres. Je senti, plutôt que je ne vis, le trouble qui envahit Mélanie lorsqu'elle se porta au niveau de son Maître. Elle n'osa lever les yeux sur lui. Je vis ses mains tremblantes le servir, j'aurai pu entendre son coeur battre la chamade si j'avais été plus près. Mais elle resta maitresse d'elle même et se dirigea vers le bout de la table où présidait notre Marquis, notre fantasme personnifié, celui qui avait fait que nous étions là à servir nues de parfaits inconnus à l’exception de nos Maîtres. J'osais lever les yeux vers lui et le vis qui nous regardait, nous fixant, cherchant peut-être une faille dans notre service, novices et mal habiles que nous étions, pour une tache inhabituelle, dans une tenue encore plus inhabituelle. Il s'amusait, me sembla t-il, de la situation dans la quelle il avait, j'en suis sûre , pris un malin plaisir à nous mettre. - Le service est bien long ce soir ! ne trouvez-vous pas mes chers amis ? demanda -t'il à ses convives? si cela continue je mangerai froid et cela ne me plaira pas à n'en point douter ! Nous nous pressâmes aussitôt à ses côtés. Toutes deux rouges de confusion. Mélanie lui présenta le plat dont il se servit une part et à mon tour lui présentais la ...
    ... saucière. Il nous laissa là ensuite, ne sachant que faire, plantées en bout de table comme statues de marbre blanc. Que devions nous faire maintenant que chacun était servis ? Retourner aux cuisines, rester là à attendre un éventuel ordre qui ne venait pas. J'optais pour retourner aux cuisines, il fallait que je puisse me rafraîchir et reprendre mes esprits avant la suite de la soirée. Je n’eus pas à réfléchir longtemps, Mélanie pris les devants, elle se dirigea vers les cuisines, je lui emboitais le pas, la suivant vers la porte salvatrice encore ouverte par où nous étions entrées... - arrêtez-vous immédiatement ! L'ordre tomba, nous pétrifiant sur place . La voix était forte, dure, puissante ! Plusieurs convives sursautèrent, surpris. Nous nous regardâmes, tremblantes et apeurées par la colère que l'on sentait. Qu'avions-nous oublié ? Qu'avions-nous fait de mal ?La patience n'était apparemment pas une qualité que le Marquis possédait, l'avait-on fait trop attendre ? Son repas était-il froid ? - qui vous a autorisé à quitter la salle, femelles ? Je tournais la tête vers Mélanie et y vis les mêmes questions. Mon regard croisa celui de mon Maître, il était contrarié . Contre moi ? Qu'avais-je bien pût faire pour mériter ce courroux ? - approchez vous ici ! je ne pût m'empêcher de regarder vers la porte de la cuisine et m'approchai à pas comptés vers le Marquis . J'arrivais à sa hauteur la première . Il me saisit la main et m'attira à lui. - Plus près ! Je sentais son parfum, épicé, ...