1. La dame aux champignons


    Datte: 22/11/2019, Catégories: fh, extracon, groscul, taille, forêt, Oral pénétratio,

    ... sa tignasse encore toute noire. Dire que ce petit bout de femme m’avait donné rendez-vous en pleine nature et qu’elle s’avançait maintenant vers moi en me souriant. — Et bien, remettez-vous, lança-t-elle en riant, je ne suis pas la vierge Marie ! Elle s’agrippa directement à mon cou et m’attira à elle, tout droit vers sa grande bouche bien ourlée. Sa langue cherchait la mienne, son besoin d’amour semblait immense et faisait fi des quarante centimètres qui nous séparaient. Devant sa chaleur, je ne pus que l’enlacer, la prendre dans mes bras et la serrer très fort contre moi. Je crois qu’elle n’attendait que ça tellement elle semblait fiévreuse et empressée. Ce baiser dura longtemps, nos bouches collées, nos langues emmêlées, nos corps soudés, au beau milieu des arbres, dans cette immensité. Je la sentais fondre entre mes bras. Ma main avait déjà glissé sous sa liquette et agrippé ses seins. Il fallait faire l’amour dans l’urgence, la fièvre était en nous. Je la renversai bientôt sur le sol humide et m’allongeai sur elle. Nous nous embrassions comme des malades. Sa bouche, son cou, le lobe de ses oreilles : Elle était très réactive, et aussi très empressée. « Viens en moi, tout de suite ! », me dit-elle entre deux baisers. Pas le temps de nous déshabiller. J’ai juste baissé un peu son pantalon, j’ai écarté sa culotte et me suis enfoncé dans son sexe brûlant, dans la chaleur moite de son désir pressant. Elle gémissait déjà, tournait la tête dans tous les sens en griffant la ...
    ... terre humide avec ses doigts. Elle agrippa mes fesses, m’attira encore plus avant contre son bassin, m’intima l’ordre de la baiser plus fort : « Transperce-moi, dit-elle ». Jusqu’à ce qu’elle jouisse, jusqu’à ce que je jouisse, tous les deux perdus quelque part tout au fond de la forêt. Nous étions allongés dans les feuilles, enlacés avec tendresse. Elle réclamait plein de petits baisers. Je détachai un à un les boutons de sa chemise, en écartai les pans pour dévoiler deux seins libres de toute entrave, ni trop petits, ni trop gros, fort bien galbés et tout ce qu’il y a de plus naturels. J’embrassais ces splendides collines durant un long moment, m’attardant sur les pointes assez dures, descendant par moment vers son nombril. Elle était totalement abandonnée, offerte à mes caresses, offerte à mes baisers, elle m’aidait juste à peine pour que je la débarrasse de ses effets. Je fus bientôt entre ses cuisses toutes humides, ma bouche collée contre son fruit juteux. Explorateur passionné de sa féminité, titilleur de son bonbon, spéléologue de sa caverne intime. Elle gémissait d’amour, preuve que toutes ces caresses ne lui étaient pas indifférentes. Et je prenais un malin plaisir à aller sans cesse plus loin. Elle criait, elle jouissait et je recommençais. Elle était désormais entièrement nue, tous ses nerfs à fleur de peau. Le moindre baiser, le moindre attouchement, la faisait se tordre de plaisir. Elle n’en pouvait plus, elle rendit l’âme et m’implora d’arrêter cette douce torture. ...
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