1. La dame aux champignons


    Datte: 22/11/2019, Catégories: fh, extracon, groscul, taille, forêt, Oral pénétratio,

    ... Puis elle se blottit langoureusement contre moi et m’embrassa avec tendresse. — Je crois bien que l’autre jour, j’ai vraiment flashé sur toi, me dit-elle en m’embrassant. Parce qu’au fond, tu ne vas pas me croire, mais je m’en fous complètement des champignons. C’est mon mari qui râle, mais personnellement je m’en moque. Si ce n’est pas toi qui les prends, il y en aura bien d’autres qui ne se gêneront pas. Ici, c’est trop près de la route, alors il y a forcément des gens qui passent et qui s’arrêtent… L’autre jour, avant de venir te voir, je t’ai observé pendant un long moment et c’est vrai que je me suis tout de suite imaginé faire l’amour avec toi. Ce n’est pourtant pas mon habitude, mais là, je ne sais pas. C’est pour cela que je n’étais pas à prendre avec des pincettes, parce que j’étais frustrée. Et puis, par la suite, j’ai regretté, je t’ai rappelé et, depuis ce jour, je n’arrête plus de penser à toi. J’aurais bien aimé lui dire : « Moi aussi, c’est pareil. » Sauf que, pour moi, ce n’était pas pareil. Je la découvrais simplement peu à peu et c’est cette découverte qui me faisait l’aimer. Je ne lui dis pas non plus, de peur qu’elle ne le prenne mal, que le seul souvenir que je gardais de cette première rencontre, c’est la vision de son fabuleux fessier. J’ai attrapé mon pantalon et j’ai fouillé la poche : — Tiens, c’est pour toi… ce n’est pas grand chose.— Oh que c’est mignon, t’es vraiment chou. Tu as pensé à moi ! C’est nous les deux amants sur la médaille ? T’es ...
    ... vraiment un cœur. Elle m’embrassa avec passion en caressant mon sexe déjà dur d’envie pour elle. Elle était sur moi, je pétrissais ses fesses, son imposant fessier. J’avais envie de la prendre en levrette, par derrière, d’avoir une vue plongeante sur la plus généreuse partie de son anatomie. Je le lui fis comprendre, elle ne fit aucune difficulté pour prendre la position, pour se mettre à quatre pattes, pour présenter son cul généreux qui fut bientôt le destinataire de tous mes hommages. Je la pris comme une bête en lui claquant les fesses, une saillie animale en pleine forêt, un cerf qui monte une biche. Je l’ai baisée animalement jusqu’à en perdre haleine. Elle se mit à gémir, elle se mit à crier, à hurler sa jouissance. J’y allais de bon cœur, à grands coups de boutoir jusqu’à finir par jouir en elle. Nous nous sommes effondrés à nouveau sur le sol, et sommes restés ainsi encore un bon moment, empalés l’un à l’autre, enlacés corps à corps, entièrement nus sous la frondaison. — Tu es un bon amant.— Et toi une fabuleuse maîtresse.— Avec un trop gros derrière !— Tu as un derrière fantastique, j’aime tes fesses, tout comme j’aime chaque partie de ton anatomie. Je crois que nous nous sommes rhabillés à contre-cœur. Il fallait qu’elle s’en aille, qu’elle aille s’occuper de la serre. En plus, une absence trop prolongée pourrait attirer les soupçons. Nous eûmes quand même beaucoup de mal à nous séparer. Elle revenait sans cesse et nous nous ré-embrassions. Deux amoureux dans la folie ...
«1...3456»