1. La marchande de chaussures


    Datte: 13/09/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... doigts dans son vagin, et je viens forcer son anus pendant que ma bite reprend sa place et son pilonnage Martine (les yeux toujours rivés sur son mari et un doigt sur le clito) non tu ne me sodomises pas. Huuuuuuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmmmmm ouiiiiiiiiiiiiiiiita queue est trop bonne hummmmmmmmmm. Et elle m’offre encore plus sa croupe. A ce moment là, on entend une douce musique. Martine (tout affolée sortant d’une poche se trouvant dans sa jupe retroussée jusqu’aux hanches, cherchant à avoir une voix normale, et me faisant signe de sortir de son ventre) oui mon chéri, tu es ou ? Elle n’a pas réussi a m’éjecter je suis toujours en elle, je bouge doucement. La situation l’excite tellement qu’elle a du mal à ne pas gémir. DECROCHANT LE TEL Martine (ne bougeant plus essayant de gérer son plaisir) oui, mais comme tu m’as dit que tu avais du retard je suis allé faire des achats Mari : Martine : tu auras la surprise, c’est que pour toi mon amour Mari Martine : oui je t’aime, ouiiii tu pourras me faire ce que tu veux Mari : Martine : oh oui mon amour, je te sucerai a fond, je boirai ton jus A ces mots , plus la situation, la femme que je baise en ligne avec son mari Je suis au bord de l’explosion, je me retire et je fais glisser martine sur le sol. lle est à moitié assise ou à moitié à genoux devant moi Elle a presque fini sa communication avec son mari Martine : oui je te retrouve à la voiture, et tu me sauteras sur le parking ...
    ... comme une chienne. Oui oui Au moment où elle va raccrocher, je lui glisse ma tige bien raide entre les lèvres, te je me vide à grands jets chauds, sur sa langue, dans sa gorge. Je jouis ne silence. J’entends encore la voix de son mari à qui elle ne peut pas répondre, vu la situation. Elle raccroche. Je me suis retiré, elle me regarde comme sonnée, les larmes aux yeux, le maquillage dégoulinant sur les joues, et du sperme coulant aux coins des lèvres Martine (que j’aide à se relever) : salop Moi : tu n’as pas aimé ? Martine : non pas la fin, comment je vais faire maintenant Moi : comme tu es une chienne, tu vas, aller au parking complétement nue, sous ton manteau, en arrivant tu ne l’embrasses pas, tu le pousses derrière un arbre et tu le suces à fond. Il va être sur un petit nuage, te dire que tu es une vraie pute, et tout ira bien. Martine : (ramassant ses habits) tu crois Moi : oui certain du moins moi je serais aux anges , au fait tu me donnes mes chaussures Martine : (me donnant la boîte avec un sourire coquin) tiens salop Nous avons fini de nous préparer, regardé si le chemin était dégagé et en nous quittant Martine : je voulais te dire, c’est la première fois que je fais ça, que je trompe mon mari, je ne voudrais pas que tu croies, que je suis une femme facile. Mais j’ai adoré, ce que nous avons fait. Moi : tu as mon numéro, appelles moi, pour me dire quel jour je peux venir, car je n’ai pas payé les chaussures 
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