1. Florence et moi (4)


    Datte: 25/11/2019, Catégories: Hétéro

    Je pense que vous l’avez déjà compris, Florence est une fille qui n’en fait qu’à sa tête et, durant les presque trois années où elle fut ma maîtresse, elle mena la danse bien plus souvent que moi. Aujourd’hui, je vous en présente un nouvel exemple. Flo m’avait proposé de passer chez elle pour le « programme habituel », ce qui signifiait concrètement passer la journée chez elle à marteler nos manettes, regarder des vidéos, voire se mettre un film ou une série. Le tout entrecoupé d’une ou deux parties de jambes en l’air quand l’envie nous prendrait. C’étaient toujours des moments particuliers : nous agissions comme n’importe quels amis et, soudain, l’un d’entre nous disait ou faisait quelque chose qui mettait le feu aux poudres. Mais en arrivant, j’eus la surprise de découvrir que ma maîtresse n’était pas seule. Sur son lit, une manette à la main, se trouvait Lucie, une de ses amies que je ne connaissais pas très bien. Il faut dire que la fille était plutôt du genre timide et très effacée, surtout en ma présence ou, de façon plus générale, de représentants de la gente masculine. Elle avait quelque chose de craquant, avec son visage rond et angélique, aux lèvres pleines et roses, encadré par de longs cheveux noirs un peu ondulés et éclairé par de magnifiques yeux bleus. Malheureusement, elle affichait aussi un très large surpoids qui empêchait beaucoup de mecs de s’intéresser à elle et sa timidité n’arrangeait rien pour ceux qui n’ont que faire des considérations esthétiques, ...
    ... de sorte que Flo m’avait confié plus d’une fois désespérer de la voir trouver quelqu’un : à chaque fois qu’un homme s’intéressait à elle, elle fuyait aussitôt. L’après-midi passa normalement, j’avais parfois du mal à détacher mon regard de l’imposant décolleté de Lucie ou de ses magnifiques yeux, mais elle ne m’adressa quasiment pas la parole de la journée, sinon pour me tendre la manette ou se moquer brièvement quand elle m’explosait sur Tekken... Soit à chaque partie. Elle finit par partir vers 19 heures, pour attraper le dernier bus, notre hôte n’habitant pas vraiment centre-ville. J’avais retrouvé ma place près de la fenêtre, tandis que Flo se prélassait sur son lit, une cigarette nonchalamment coincée entre ses lèvres, elle me fixait avec un sourire joueur qui présageait du meilleur... ou du pire, la connaissant. « Alors, elle plaît Lucie ? Fit-elle. T’as pas arrêté de la mater. » Je décidai de rentrer dans son jeu et pousser un peu, histoire de voir où elle comptait en venir. « Elle a un visage d’ange, répondis-je. » Flo hocha la tête. Elle m’avait plusieurs fois dit que c’était une honte qu’une fille aussi jolie ne trouve pas chaussure à son pied. « Et je me suis toujours demandé à quoi ressemblerait un ange avec du sperme plein la gueule, assénai-je. » Ma maîtresse se redressa, les yeux écarquillés. Une seconde, je crus avoir été trop loin. « De quoi ? Tu peux pas parler comme ça de mes amies, ça mérite une punition ! » Ouf ! Elle n’aurait jamais parlé comme ça si elle ...
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