1. Florence et moi (4)


    Datte: 25/11/2019, Catégories: Hétéro

    ... avait été vraiment fâchée, ça faisait donc partie du jeu. Elle se leva d’un bond de son lit et fit sauter jean et string d’un seul mouvement ; ses vêtements n’avaient pas encore touché le sol qu’une grosse bosse se formait au niveau de mon entre-jambe. Elle s’allongea à moitié au bord du lit, les pieds au sol, se tenant sur les coudes pour me regarder droit dans les yeux. « Viens te faire pardonner, vilain garçon » me lança-t-elle avec son regard le plus lubrique. Je me levai aussitôt et entreprit de déboutonner mon jean, mais elle me coupa dans mon élan. « T’as quand même pas cru que t’allais me baiser, non ? T’es puni mon vieux, pas récompensé, alors tu viens gentiment te faire pardonner. » Je n’ai rien contre le sexe oral, bien au contraire, et cela vaut dans les deux sens. J’allais donc m’agenouiller au pied de Florence et glissait ma tête entre ses cuisses en direction de son sexe entièrement rasé. Sa main vint jouer avec mes cheveux, tandis que les miennes caressaient ses jambes, son ventre, ses hanches, le côté de ses fesses. Je commençai par déposer quelques petits baisers sur sa vulve encore fermée, mais la pression de ses doigts sur mon cuir chevelu me fit comprendre qu’elle ne me voulait pas trop joueur. Alors je sortis ma langue, que je fis passer entre ses lèvres et remonter jusqu’à son clitoris, autour duquel je l’enroulais. Son jus avait un goût un peu acidulé, presque citronné, dont je ne me lassais pas. Je pris tout mon temps pour faire monter son plaisir, ...
    ... alternant des phases lentes avec d’autres plus rapides, celles où ma langue s’immisçait en elle avec celles où elle valsait à un rythme irrégulier, celui de la musique du jeu mit en pause, sur son bouton de plus en plus gonflé. A chaque accélération, je sentais ses cuisses trembloter, ses jambes se refermer autour de moi comme pour m’attirer toujours plus à elle, puis la pression se relâcher lorsque, avec plus de lenteur et de douceur, je retournais fouiller son intimité. Son clitoris était maintenant si gonflé que je pouvais le faire coulisser entre mes lèvres, ajoutant ce plaisir à celui de la danse de ma langue. Ses jambes tremblaient sur mes épaules, sa main me pressait toujours plus fort contre elle, je la savais au bord de l’explosion. Alors, je délaissai l’exploration de sa grotte pour ne plus me concentrer que sur son bouton, que je suçais, léchais, toujours plus vite, avec toujours plus de passion. Elle jouit brusquement, avec un gémissement presque étouffé, ses jambes se serrèrent au point de presque me faire mal. Et un instant plus tard, j’étais libre, tandis qu’elle reprenait son souffle. J’embrassais ses cuisses avec passion, à la fois par excitation et pour m’essuyer de son jus qui maculait mon menton et empoissait ma barbe de quelques jours. Lorsque Florence se fut remise de ses émotions, je baissai mon pantalon pour lui présenter mon sexe dressé par une érection aussi imposante que douloureuse. snmsccfd « Dans tes rêves, fit-elle en regardant mon membre, t’es ...