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Une énarque se décoince
Datte: 28/11/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... strident venu du fond de la gorge de Charlotte, écartelée et pantelante. Delphin arrosa son ventre blanc d'un reste de sperme épais, comme pour marquer une sorte de baptême. - Eh bien ma chérie, te voilà à nouveau dépucelée, plaisanta Manuella. Charlotte sourit. Il y avait un peu de ça, en effet, sauf que la deuxième fois était incomparablement plus jouissive que la première... Charlotte dormit d'un sommeil de plomb, comme vidée d'une lourde et longue tension. Manuella la réveilla car il fallait rejoindre le ministère. Delphin avait préparé le petit-déjeuner, que le trio prit en commun comme si rien de particulier ne s'était passé la veille. Dans la voiture qui les conduisait sur leur lieu de travail, les deux femmes évoquèrent la soirée de la veille. - Ce que tu peux être vulgaire quand tu fais l'amour ! s'exclama Charlotte à l'intention de la conductrice. - Vulgaire ? Parce que j'exprime des mots crus ? Façon de voir. D'abord, hier soir, on n'a pas fait l'amour, on a baisé. Pas pareil. Il nous arrive de faire l'amour avec tendresse et délicatesse, mais aussi de baiser avec fougue et dans ces cas là, je suis un peu bestiale, je le reconnais. Je me lâche, quoi. Je laisse parler l'animal qui est en moi. C'est pourquoi je jouis si facilement. Tu ferais bien d'en prendre de la graine, madame la coincée. Quoique hier soir, j'ai trouvé que tu te lâchais aussi. Qu'est-ce que tu crie quand tu jouis ! J'en avais plein les oreilles. - Je me suis laissée gagner par l'ambiance que ...
... vous aviez créée, vous les deux cochons. C'était difficile de résister. - Et pourquoi tu aurais résisté ? Tu aimes le sexe, c'est évident, pour peu qu'on te le fasse bien. - Je me suis un peu découverte, c'est vrai. Ton mari est un expert... - Je ne te le fais pas dire. J'ai bien aimé la façon que tu avais de remuer ton cul quand tu étais sur lui. Tu voulais te la mettre bien profond, hein ? - J'en avais besoin, pas la peine d'en rajouter dans la vulgarité. - Avoue que tu as baisé ? - Oui, bon ça va, j'avoue. - Dis j'ai baisé et j'ai aimé cette grosse bite bien dure, allez, dis-le. - J'ai... j'ai baisé et j'ai... aimé cette grosse bite bien dure, voilà, tu es contente ? - Tu vois, tu progresses. Bon, il ne faut pas que tu en restes là. Samedi, on sort, je t'emmène en club. - En club ? Tu veux dire... libertin ? - Oui, libertin, échangiste, comme tu veux. Tu pourras te contenter de nous regarder baiser. Personne ne force personne. - Euh... bon, je vais réfléchir, tout ça va un peu trop vite pour moi. Après tout, je suis toujours avec Louis. - Eh bien, emmène-le. Charlotte éclata de rire. Déjà que Louis répugnait à se déshabiller devant elle... Mais les deux femmes étaient arrivées sur leur lieu de travail. Elles se fondirent aussitôt dans l'ambiance feutrée du ministère et leurs préoccupations se portèrent sur leurs dossiers en cours. Elles étaient devenues professionnelles de l'administration, à l'opposé des femelles de la veille. A les voir penchées sur leur tâche, qui aurait ...